1. Douce rencontre avec Amélie (2)


    Datte: 22/05/2020, Catégories: fh, douche, fsodo, Auteur: Alban, Source: Revebebe

    ... slip, et le fait de sentir s’effondrer le dernier obstacle entre mon sexe et sa langue me rendait complètement dingue.
    
    Finalement elle libéra ma queue, puis, tout en la maintenant droite avec sa main, passa sa langue de bas en haut, comme lorsqu’on cherche à réduire une glace trop encombrante en la léchant de tous les côtés. Amélie devait sentir l’odeur très forte de mon sexe qui, compte tenu de la chaleur, dégageait un parfum assez étrange de transpiration et de liquide spermatique.
    
    Mais visiblement ça ne la dérangeait pas. Comme la première fois, elle goûta à mon gland pourtant poisseux, elle aimait visiblement le contact avec ce film transparent et visqueux. Puis, tel un rituel, elle s’approcha et m’embrassa avec le goût de ma bite dans sa bouche, un goût fort et salé mais pas forcément désagréable.
    
    LA DOUCHE
    
    Mais le remake s’arrêta là. Amélie me sourit et me demanda s’il y avait une douche dans mon appartement, tout en me tirant du lit avec ses bras. Elle enleva sa culotte juste avant d’entrer dans la cabine et je pus constater là aussi que le pourtour de ses hanches était tout blanc, mettant ainsi sa fine couche de poils en relief. Le jet d’eau qui nous tomba dessus fut un vrai bonheur. On prit chacun du gel douche dans nos mains et on commença à se l’enduire partout sur le corps. Amélie me lavait le sexe avec beaucoup d’attention, faisant mousser le savon, prenant soin de ne pas irriter le gland par des caresses trop brutales.
    
    De mon côté, je ...
    ... savonnais ses seins, tout devenait glissant, c’était assez amusant et très excitant. Ses fesses rebondies devenaient luisantes et les parcourir sous l’effet du gel était un vrai délice. Puis mes doigts se faufilèrent entre ses jambes. Ils trouvèrent rapidement une petite fente de chair envahie par la cyprine, puis un petit rebond de chair qui devait être le périnée.
    
    La constatation aurait pu être médicale mais il se trouve que cela représentait pour moi le dernier stade avant l’anus, et j’aimais beaucoup l’idée que l’exploration de cette zone soit soumise à un interdit matérialisé par un espace de chair clairement identifiable. Mon doigt traversait et retraversait sa vulve, puis atteignit le périnée sans savoir s’il était possible d’aller au-delà.
    
    Je me rappelais qu’Amélie n’avait pas d’inhibitions spéciales à ce sujet mais je préférais rester prudent car je ne voulais pas lui donner l’impression de lui manquer de respect. Alors que nous nous embrassions goulûment sous une projection d’eau ininterrompue, je pris le risque de m’aventurer plus en avant, et passai une première fois mon doigt sur son anus.
    
    Dans la mesure où je n’avais détecté aucune réaction de rejet de sa part, je passai une deuxième fois puis me concentrai complètement sur cette zone. Finalement, elle se mit à me masturber d’une main, comme pour me donner son accord et me faire comprendre que cet espace m’était ouvert.
    
    Elle leva une jambe vers moi et tenta de l’arrimer à ma taille. Ma main l’aida à se ...