Douce rencontre avec Amélie (2)
Datte: 22/05/2020,
Catégories:
fh,
douche,
fsodo,
Auteur: Alban, Source: Revebebe
... escaliers, que je constatai que quelqu’un attendait assis sur les marches devant la porte d’entrée de mon appartement.
Il me fallut environ deux secondes pour me rendre compte que c’était Amélie qui m’attendait, le visage complètement bronzé, avec un sourire radieux.
— Je suis contente de te voir, me dit-elle en se relevant avec un regard sincère.
Elle colla ses lèvres sur les miennes, son odeur délicieuse m’envahit, et mon cœur se mit à chanter à tue-tête.
On entra dans mon appartement. Il devait être dix-neuf heures et la chaleur était insoutenable. Mais je me sentais léger et enjoué, j’avais l’impression d’être un gosse à qui on vient d’offrir le cadeau de ses rêves. On s’installa dans la cuisine devant une bière fraîche et elle m’expliqua être partie quelques jours dans le sud de la France dans une villa appartenant à ses parents.
Elle ne m’avait pas prévenu car elle ne voulait pas tout précipiter. On discuta pendant une bonne demi-heure, j’étais si content de la voir. Pendant la discussion, je sentais en moi l’attente de ce qui se passerait ensuite, je comprenais que le meilleur m’attendait, mais je voulais encore faire durer un tout petit peu.
On discutait de tout et rien puis un silence s’installa. On se regarda dans les yeux puis elle éclata de rire. Je sentais l’attirance physique prendre le dessus, c’était comme si quelque chose de supérieur mais d’immatériel devait nous rapprocher, telle une main invisible. Elle se leva pour s’installer sur mes ...
... genoux, et planta ses lèvres sur les miennes. La discussion était donc terminée.
APRÈS LA DISCUSSION
Elle ne portait qu’une robe noire un peu moulante qui descendait jusqu’au dessus de ses genoux. Sa langue se mélangea langoureusement à la mienne, très calmement. Elle m’embrassait avec douceur, tendrement, sa bouche était d’une sensualité incroyable.
Cette seule sensation me fit instantanément bander au plus haut point. Je caressai ses jambes brunes qui étaient d’une infinie douceur. J’étais littéralement transporté par sa présence, je ne touchais plus terre.Et dire que je vais faire l’amour avec elle, pensai-je, en prenant conscience que cette perspective était la meilleure qui m’ait jamais été offerte.
Quelques minutes plus tard, nous étions sur mon lit, les fenêtres ouvertes. Amélie avait enlevé sa jupe et ne gardait que sa petite culotte sur elle. C’était amusant, ses seins étaient complètement blancs alors que le reste de son corps était bruni par le soleil. Je pouvais sentir sous mes doigts les petits tétons dressés et fripés par l’excitation, puis un peu de sueur amassée en bas de son ventre, enfin le tissu de sa petite culotte fortement humidifié par la cyprine.
Amélie finit par me coller des baisers sur le torse et, avec une science du mouvement extraordinairement précise, se mit à descendre lentement vers mon bassin. Je frémissais à la seule idée que sa bouche se dirigeait vers mon sexe. Elle finit par coller ses lèvres contre ma bite à travers mon ...