1. L'abricot magique II


    Datte: 18/05/2020, Catégories: fh, couple, amour, fdomine, Auteur: Like a Princess, Source: Revebebe

    ... rentrer dans la cage trop petite. Elle en profita pour jouer un peu, se collant à lui, la tête sur son épaule, titillant son petit minou avec l’extrémité de la cage, la passant délicatement le long de sa fente, écartant ses lèvres intimes, se pénétrant autant que la position pouvait le permettre. Elle en était toute mouillée s’aperçut-elle en voyant l’humidité de la petite cage.
    
    — Bon, tu as été gentil et obéissant, même si tu ne pouvais pas faire grand-chose. Je vais te proposer un jeu qui va te faire gagner toute une demi-journée si tu te comportes correctement. J’ai envie de jouer à la poupée.
    
    Elle glissa de bas en haut une paire de ciseaux entrouverte dans le film pour le dégager d’un seul coup. Il s’ébroua retrouvant sa mobilité.
    
    — Que dois-je faire, Princesse ? Ce sera gentil ? dit-il de l’espoir plein les yeux.
    — Oui, ne t’en fais pas.
    
    Pendant une petite heure, elle s’amusa à le déguiser avec ses habits à elle. Lui faisant porter un de ses vieux strings en dentelle blanche qui baillait sur les côtés à cause du paquet en cage et qui devait lui rentrer dans les fesses tant l’expression « tendu comme un string » prenait ici toute son illustration. Elle lui fit enfiler des collants et une jupe qu’elle raccourcit en tournant la taille pour en faire une tenue plus sexy. Ses chemisiers et soutiens-gorge n’allaient naturellement pas, mais une chemise blanche à lui qu’elle fit blouser au moyen d’une ceinture haute et élastique fit l’affaire. Pour parfaire ...
    ... l’illusion, elle défit les trois boutons de dessus pour former un décolleté qu’elle agrémenta d’un collier en or. Pour finir, elle dénicha des sandales d’été à elle non fermées au bout, ce qui lui permit de le percher sur des talons. Elle compléta le tableau avec une perruque fantaisie aux cheveux lisses et roses qu’elle avait achetée trois-francs-six-sous pour une ancienne soirée déguisée. Elle admira son œuvre, la peaufinant encore avec un petit coup de maquillage, juste du noir autour des yeux et du rouge à lèvres.
    
    Elle le fit défiler devant elle dans le salon en lui apprenant à croiser ses pieds en marchant comme les mannequins, tortillant des fesses de façon amusante. Enfin plus qu’amusante… Le trouble montait en elle. Elle se leva et s’approcha de lui – d’elle ? – l’embrassa sur la bouche, lui caressa la poitrine par l’entrebâillement de la chemise, passa ses mains sous la jupe pour lui malaxer les fesses. Le crissement du collant sous ses mains accentua son émoi. Elle l’entraîna soudain dans la chambre où elle le poussa sur le lit, lui arrachant ses vêtements, jetant elle-même ses habits par terre. Elle saisit la clef entre ses seins, lui ouvrit la cage et sans autre forme de procès, le prit comme une furie.
    
    Elle réfléchissait après cet épisode où elle s’était si totalement lâchée. Elle avait éprouvé une jouissance comme jamais elle n’en avait même approché. Mais, dans le même temps, cette sensation lui faisait peur, atteindre de tels sommets donne le vertige et l’espèce ...
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