1. L'abricot magique II


    Datte: 18/05/2020, Catégories: fh, couple, amour, fdomine, Auteur: Like a Princess, Source: Revebebe

    ... et glabre, la léchouillant, la suçant, l’aspirant, tirant les boules qui jouaient librement sous la peau lisse des bourses. Continuer un tel traitement allait devenir dangereux. Il était près d’exploser, s’aperçut-elle en entendant le souffle de plus en plus rapide de sa victime, seul indice qui pouvait l’alerter en raison de l’immobilité totale à laquelle il était astreint. Elle délaissa donc l’oiseau, remarquant le désespoir dans ses yeux et remonta donc vers les seins. Elle s’amusait à titiller les tétins, les suçoter, les mordiller, provoquant à nouveau une accélération de sa respiration et quelques gémissements de plaisir contenu.
    
    — Tu as trop de poils aux tétons, c’est désagréable, fit-elle tout en stoppant sa béatitude par un pincement violent des deux fragiles extrémités.
    
    Elle fouilla dans le meuble sous le lavabo et se releva avec une pince à épiler avec laquelle elle entreprit de lui retirer un à un les quelques poils un peu ridicules qui les ornaient, mais dont il était bizarrement fier. Son corps totalement impuissant dans ses liens et avec l’interdiction d’émettre le moindre bruit qu’elle lui avait imposée, seul le roulement de ses yeux exprima la soudaine douleur qu’elle lui infligeait.
    
    — Ne fais pas la mauviette, ce n’est rien par rapport à ce que tu m’as forcé à endurer.
    
    Ses petits tétins dégagés, elle continua à jouer avec eux, les malaxant, les étirant, les tordant, déclenchant des ondes corporelles sous le film qui l’immobilisait.
    
    — Elles ...
    ... sont insuffisamment développées ces petites choses, j’ai peine à les prendre, fit-elle en le regardant dans les yeux, ça te plairait qu’on les développe, qu’on les fasse grossir ? J’ai vu des petites pompes qui sont faites pour. Tu sais, sur le site Internet de ta boutique de pervers…
    
    Elle songea qu’au lieu de rester sur Internet, ils pourraient aller carrément tous les deux dans la boutique Démonia qui, avait-elle noté, présentait l’avantage de se trouver isolée dans un quartier bourgeois, avenue Jean Aicart dans le 11e, loin du glauque des boutiques spécialisées de Pigalle. Cela serait une occasion également de compléter la boîte à joujoux, il y a tellement de choses à explorer.
    
    Continuant à explorer son corps, elle lui susurra qu’elle avait une furieuse envie de lui épiler le reste du corps, particulièrement ses jambes, s’amusant de son air effrayé. Pour continuer de s’amuser, elle lui expliqua que, de son côté, elle serait bien tentée parjanu-hairy et pourquoi pasfebru-hairy, profitant de la période où les femmes n’exposent pas leur corps sur la plage pour laisser pousser l’intégralité de leurs poils. De multiples blogs et sites Internet montraient de jeunes et moins jeunes femmes exposant leurs jambes ou leurs aisselles avec leur pilosité naturelle, parfois très fournie. Visiblement, la perspective ne devait pas tant le dégoûter, sa bandaison avait même retrouvé quelque vigueur.
    
    Elle entreprit donc de lui remettre sa cage, en forçant pour permettre à l’engin de ...
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