1. Madame la substitute.


    Datte: 06/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Clar, Source: Hds

    ... de police laissait apparaitre des zones d’ombre. Un soir que je quittais le tribunal, un homme m’accosta. C’était David Chezeau. Il m’avoua qu’effectivement il n’était pas à son poste au moment des faits mais qu’il ne pouvait pas dire où il se trouvait pour protéger quelqu’un de l’établissement. Il pensait que personne ne le croirait. Il faisait peine à voir, ayant compris que de toute façon il paierait cher et serait tenu pour seul responsable. J’entamais le dialogue avec lui, lui assurant qu’il serait couvert par le secret de l’instruction, que son nom n’apparaitrait pas sauf s’il était appelé à témoigner. Et ce serait sans doute le cas puisque la famille du détenu avait porté plainte. Il lui fallut plus d’une heure pour m’avouer qu’il était en fait à l’infirmerie et qu’il espionnait la femme médecin qui avait des rapports sexuels avec un détenu. Cette liaison durait depuis plusieurs mois, chaque mardi après-midi entre quinze heures et seize heures. Je ne sais pourquoi, je crus le gardien. Le mardi suivant, je me rendis à la prison en début d’après-midi, au prétexte de l’enquête. David Chezeau me conduisit à l’infirmerie. Il me fit signe de rester silencieuse et nous nous glissâmes dans un local de réserve. Une sorte de passe-plat avait été aménagé dans le mur, permettant de communiquer avec la salle d’examen médical. Le système fermait mal et permettait de voir ce qui se passait dans la pièce d’à coté. La doctoresse était déjà là, en blouse blanche. A quinze heures, un ...
    ... gardien amena le détenu. La vingtaine, cheveux noirs bouclés, l’allure du parfait petit caïd provincial. Je le vis enlever son pantalon de survêtement sous lequel il ne portait rien. Son sexe trapu se redressait comme animé d’une vie propre. Il enleva son tee-shirt. La doctoresse, une rousse d’une quarantaine d’années semblait hypnotisée par la vision du corps nu. Elle retira sa blouse, retroussa sa jupe dévoilant des bas et une culotte noire. « Je t’avais dit de pas mettre de culotte. Va falloir que je te punisse ». Elle déboutonna ensuite son chemisier, laissant apparaitre des seins en poire aux larges aréoles. Elle s’approcha du détenu et se mit à le caresser et l’embrasser avec passion. Ensuite, après lui avoir administré une fellation, elle s’allongea sur le bureau, écarta largement ses cuisses l’invitant à venir en elle. Ils ne pouvaient pas faire de bruit mais on ressentait l’intensité de son désir à elle, et sa bestialité à lui. Après un bon quart d’heure de joute, il se retira d’elle et éjacula sur sa poitrine. Dans notre local, la température avait augmenté de quelques degrés. David Chezeau s’était caressé discrètement. Quant à moi, c’était la première fois que j’assistais en spectatrice aux ébats d’autres personnes. Mes joues étaient rouges, ma respiration accélérée et une moiteur humidifiait ma culotte. Je me félicitais d’avoir mis un pantalon. Le soir, je me masturbai en revivant mentalement la scène. L’orgasme fut intense. Finalement, je m’arrangeai pour faire ...
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