1. Madame la substitute.


    Datte: 06/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Clar, Source: Hds

    ... principaux. « On ne fait rien de mal. Aucune dégradation. Aucune atteinte à la sécurité de l’Etablissement. Tout est contrôlé. Cela permet d’améliorer les fins de mois avec le faible salaire que nous octroie l’administration. Voilà, vous savez tout. Mais vous aurez du mal à prouver ce que je vous ai raconté. Tout est organisé et huilé. Aucune surveillance ne pourra nous prendre à défaut. »
    
    La nuit portant conseil, je réfléchis. Mais mon raisonnement était biaisé. Biaisé par ces picotements qui irradiaient dans mon ventre, par ces tableaux que mon imagination faisait naitre. Je me mettais à la place de ses femmes qui vivaient mon fantasme. Ma chatte était trempée et mes doigts s’y glissèrent. Je fermais les yeux, m’imaginant à la place de ses femmes. Je jouis rapidement mais je n’étais pas calmée. J’allais à la cuisine chercher un concombre et m’en pénétra. Cette nuit-là je jouis quatre fois, les images les plus folles ne me quittant pas.
    
    Deux jours plus tard, j’appelais mon contact. « David, j’ai un service à vous demander. J’aurais besoin de me faire passer pour une de ces femmes. Croyez-moi, mon intention n’est pas de vous nuire, mais de comprendre le fonctionnement de votre trafic. S’il vous plait, faites-moi confiance ». « Personnellement, je n’ai pas la main, mais je vais en parler à mon chef. Rappelez-moi demain soir. »
    
    Le lendemain, David m’apprit que son chef souhaitait me rencontrer. Il me fixait rendez-vous au rayon librairie d’un supermarché le soir ...
    ... même. Charles Denain avait une cinquantaine d’années. Pas très grand, de l’embonpoint, des cheveux foncés, des yeux marrons. Un physique quelconque. « David m’a parlé de votre projet. Il me dit d’avoir confiance en vous. Je veux bien le croire mais il y a des intérêts. Et comme il vous l’a dit, c’est un commerce pas très dangereux mais très lucratif. Je me demande si derrière votre poste et votre petit minois de bourgeoise, vous ne voulez pas connaitre le grand frisson et que votre enquête n’est qu’un prétexte. Mais je vous préviens, ces gars-là ne sont pas des poètes. Ils sont enfermés, avec une libido bouillonnante donc sachez ce qui vous attend. Alors je prendrai mes précautions. Vous serez photographiée pour vous éviter de vouloir nous chercher des ennuis. A vous de décider. C’est peut-être une occasion unique pour vous. A vous de voir. Si vous dites oui, c’est pour demain soir. David vous contactera ». « C’est entendu. Demain soir ».
    
    Le lendemain, David m’appela à 18 heures. Rendez-vous à vingt-deux heures cinquante-cinq devant l’école Gambetta, située à deux cents mètres de la prison. A l’heure dite, une berline allemande s’arrêta devant l’école et un homme en descendit. Il me demanda de le suivre. Nous débouchâmes dans la rue de la prison. Mes talons claquaient sur le pavé. Arrivés de la porte, il tira une clé de sa poche après s’être assuré que la voie était libre. Il m’entraina vers une petite porte au-dessus de laquelle était inscrit « entrée du personnel ». Trois ...
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