Orage sur la banlieue
Datte: 16/05/2020,
Catégories:
fh,
vacances,
parking,
ascenseur,
douche,
amour,
hsoumis,
fdomine,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
attache,
jouet,
Auteur: Ugluk, Source: Revebebe
... tenir chaud pendant quelques minutes. Julien me laisse continuer et part dans la chambre voisine. J’ouvre machinalement un petit placard installé de l’autre côté du lit, pensant y trouver une robe de chambre, mais ma découverte est bien autre.
J’ai envie d’appeler Julien mais je n’en fais rien. Plutôt coquine la propriétaire des lieux !.. Le placard contient des guêpières, des porte-jarretelles et des bodys d’une sensualité torride. Il y a même tout un accoutrement en vinyle : cuissardes, corset, chemisier et même des gants. Je découvre également une cordelette souple, deux vibromasseurs, d’étranges boules blanches reliées entre elle par une ficelle et quelques autres petits gadgets que je vois pour la première fois. Une idée me vient alors à l’esprit…
— Alors, tu trouves quelque chose ? Me lance Julien de la pièce voisine.
— Oui ! Parfait ! Met de la musique et installe-toi dans le canapé, j’arrive dans quelques instants, tu vas me dire ce que tu en penses…
Lorsque je fais irruption dans le salon, Julien est confortablement installé dans le canapé. Il a passé une simple sortie de bain. Il me découvre alors toute de noir vêtue. Des cuissardes à talons aiguilles habillent mes jambes jusqu’à mi-cuisses. Une minuscule jupe en vinyle couvre tant bien que mal les formes arrondies de mes fesses. Une large ceinture garnie de rivets chromés enserre ma taille. Plus haut, j’ai passé une veste ultra courte et très moulante qui laisse deviner chaque relief de mon buste. Un ...
... collier en cuir décoré d’œillets métalliques passé autour de mon cou complète ma tenue.
Je m’amuse de l’air effaré de mon amant tandis que je le toise d’un regard dominateur. Je tiens la cordelette d’une main et un petite baguette souple de l’autre. Je balance mon corps au rythme de la musique. J’entreprends une danse lascive pleine de sensualité et me rapproche peu à peu de mon partenaire. Je m’amuse à l’effleurer, puis je m’éloigne à nouveau. Je passe derrière le canapé et saisis les poignets de Julien.
— Non, non, ne bouge pas, lui dis-je d’un ton faussement autoritaire. Tu es mon prisonnier !
— Qu’ai-je fait pour mériter un tel châtiment ?
— Disons que tu as fait preuve d’un peu trop de vigueur sous la douche. Maintenant, je vais t’infliger ta punition.
Il m’oppose une résistance bien symbolique que je parviens aisément à maîtriser. Je noue alors la cordelette aux petites colonnes du vaisselier qui se trouve juste derrière le canapé. Ainsi attaché, Julien ne peut plus descendre ses mains au-dessous du niveau de ses épaules. Je reviens face à lui et, utilisant ma badine, j’écarte lentement les pans du peignoir, découvrant la nudité de son corps viril. Je lis une crainte sur son visage. Ma baguette lui ferait-elle peur ?
— Je te préviens, je ne suis pas amateur de…
— Chut ! L’esclave n’est pas autorisé à parler, lui fais-je d’un ton malicieux.
Sa peur me grise. J’aime savoir qu’il est à ma merci. Il ouvre la bouche mais aussitôt je le bâillonne de mes lèvres ...