Orage sur la banlieue
Datte: 16/05/2020,
Catégories:
fh,
vacances,
parking,
ascenseur,
douche,
amour,
hsoumis,
fdomine,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
attache,
jouet,
Auteur: Ugluk, Source: Revebebe
Le patron du restaurant nous interrompt pour nous demander si nous avons trouvé le repas agréable. Julien échange quelques banalités avec lui. Peu après, nous sortons par la porte qui donne directement accès au parking. Il fait déjà nuit. La cour n’est pas éclairée. Seule la lumière de la rue parvient à rendre l’endroit praticable sans encombre. Un souffle d’air frais s’insinue sous ma robe et me rappelle ma perversité. Arrivée devant ma voiture, je me penche pour glisser ma clef dans la serrure. L’obscurité ne me facilite pas la tâche. Julien en profite pour se rapprocher de moi. Il se positionne juste derrière moi et je réalise alors combien je suis allée trop loin et combien je suis vulnérable.
Soudain, je sens une main sur ma cuisse. Pétrifiée, je ne bouge pas. Mon cœur s’accélère pendant que mon corps consent. La main devient alors plus entreprenante. Brûlante, elle glisse sur ma peau et le désir m’enflamme. La main remonte doucement sous ma robe comme pour vérifier que la petite boule de soie qui est roulée dans la poche de Julien a bien laissé l’accès totalement libre. Est-ce l’abstinence qui me rend aussi vulnérable ? Trois mois se sont écoulés depuis ma rupture avec Gérôme. Je n’ai eu aucune aventure depuis. Seules quelques masturbations solitaires ont apaisé ma tension sexuelle lorsqu’elle devenait trop pesante. Statue vivante, docile et offerte, je ne résiste pas lorsque les deux mains de Julien se frayent un chemin jusqu’à la peau sensible de mes reins. Elles ...
... remontent doucement sur le dos, provoquant un frisson voluptueux jusqu’à ma nuque.
Il se colle brutalement à mes fesses. Soumise, je cambre les reins. Cet accouplement, j’en ai besoin. Ma pudeur est totalement anéantie par l’envie de sexe qui me taraude. Brusquement, je sors de ma béatitude en songeant que quelqu’un peut nous surprendre à tout moment. Effrayée, un sursaut d’appréhension me secoue. Je tente de me dégager. Julien me retient. Il contre-attaque et dégrafe mon soutien-gorge. Mes seins s’électrisent alors sous les douces caresses de ce garçon, devenu maître de mon corps. Il me fait oublier que nous sommes dans un lieu public. Sa main droite m’abandonne un instant puis revient à la charge. Un pieu de chair chaud et dur palpite maintenant contre mes fesses. Totalement vaincue par la soif de coït qui me tenaille, j’écarte instinctivement les jambes, libérant l’accès ruisselant de mon fourreau. J’attends, impatiente, le plaisir violent de la pénétration. Julien dirige son sexe jusqu’au bord de mon intimité. Curieusement, il reste là, à l’orée de mes chairs incandescentes et suintantes d’envie. Je ne tiens plus.
Il s’amuse à me faire languir. Je décide alors de prendre l’initiative. Je repousse mon bassin contre son bas ventre, enfonçant lentement le sexe en moi. Comblée, je pousse un cri de satisfaction. Mon ventre s’électrise autour de ce pieu qui commence une danse langoureuse. Il se dégage presque entièrement pour revenir en force et atteindre le fond de mon ...