Orage sur la banlieue
Datte: 16/05/2020,
Catégories:
fh,
vacances,
parking,
ascenseur,
douche,
amour,
hsoumis,
fdomine,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
attache,
jouet,
Auteur: Ugluk, Source: Revebebe
... muscles internes pour atteindre un niveau de plaisir encore plus élevé. Ma jouissance est d’une violence inouïe. Elle se prolonge, et j’ai même l’impression qu’elle monte encore d’intensité. J’ai envie de mordre, je ne parviens plus à retenir mes cris. Julien se tend, râle, hurle presque et explose dans mon ventre, m’inonde, mêlant sa jouissance à la mienne.
Nous restons un moment inertes, comme terrassés par cet orgasme dévastateur. Peu à peu, mon amant reprend son souffle, se relève et m’embrasse langoureusement. Nous restons ainsi quelques minutes avant qu’il se détache de mon ventre. Curieusement, lorsqu’il s’en échappe, je ressens une sensation de manque. Mes chairs s’étaient déjà habituées à cette présence virile. Nu, Julien traverse la pièce pour se rendre à la cuisine. Il met le sèche linge en marche et revient ensuite s’asseoir près de moi. Je m’amuse à regarder son sexe qui n’a pas encore complètement pris sa taille de repos. Je le caresse doucement et, très vite je constate qu’il reprend de la vigueur.
Je n’insiste pas et demande si je peux prendre une douche. C’est ainsi que nous nous retrouvons tous les deux dans l’étroite cabine. Le rideau en plastique se colle sur notre peau mouillée. Nous nous savonnons mutuellement. Le contact de nos corps est particulièrement charnel. Les caresses sont encore plus voluptueuses. Nous entamons une sorte de slow sensuel qui réveille en moi le désir que je pensais avoir assouvi pour la journée. Julien ne reste pas ...
... impassible lui non plus. Il présente une érection peu discrète.
— Eh bien! N’es-tu pas encore rassasié ? Tu sais que la gourmandise est un vilain défaut… lui fais-je malicieusement.
— Certains gâteaux sont irrésistibles pour les gourmets…
— C’est pourquoi je vais t’éviter une indigestion…
Je ne lui laisse pas le temps de me répondre et je m’éclipse de la douche. J’enroule une serviette de toilette, trop petite à mon goût, autour de ma taille. Julien me rejoint rapidement.
— Viens, m’indique-t’il en se dirigeant vers une chambre.
Nous entrons. Il ouvre une armoire et rajoute :
— Si tu veux rester dans cette tenue, ça ne me dérange pas, bien au contraire. Mais l’air s’est bien rafraîchi. Si tu crains d’avoir froid, là-dedans tu trouveras certainement quelque chose à te mettre. Nos vêtements ne seront secs que d’ici une vingtaine de minutes.
Je trouve l’idée plutôt gênante. Je me vois mal fouiller dans une garde robe qui ne m’appartient pas. D’un autre côté, l’orage a effectivement bien rafraîchi la température et la serviette humide ne me protège pas beaucoup. Je frissonne déjà.
— Vas-y, sers-toi, nous remettrons tout en ordre plus tard et personne ne s’apercevra de quoi que ce soit, insiste-t’il en voyant mon hésitation.
Cette fois, je me décide et je commence à regarder dans l’armoire. Les robes que je trouve ne sont pas franchement à mon goût. Je me rends compte que je joue la curieuse alors que je devrais simplement chercher quelque chose qui puisse me ...