Orage sur la banlieue
Datte: 16/05/2020,
Catégories:
fh,
vacances,
parking,
ascenseur,
douche,
amour,
hsoumis,
fdomine,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
attache,
jouet,
Auteur: Ugluk, Source: Revebebe
... vagin détrempé. Mes mains se crispent sur la toile plastifiée de la capote de mon cabriolet. Une houle de bonheur a pris possession de mon ventre. Le bruit des voitures qui passent dans la rue toute proche couvre tant bien que mal les cris de plaisir que je pousse. Julien me besogne de plus en plus fort tandis que ses mains me saisissent les hanches. Sa bouche mordille ma nuque. Son souffle chaud provoque des frissons qui parcourent tout mon corps.
Je ne vais pas pouvoir retenir l’arrivée de l’orgasme s’il continue à ce rythme. Il n’en a que faire, son sexe plonge maintenant en moi à une cadence folle. Je mords mon poing pour ne pas hurler. Je sens la verge qui gonfle encore plus fort, se déchaîne au fond de moi. L’orgasme déferle dans mon bas ventre. Je jouis comme une folle. Tous mes muscles se contractent comme s’ils étaient tous commandés par les nerfs à vif de mon vagin. Julien explose en même temps dans un râle de bonheur. Sa semence m’inonde. Nous restons quelques secondes dans cette position, comme si nous voulions prolonger cet instant merveilleux. Finalement il se dégage. Je me retourne et l’embrasse goulûment. Il me serre dans ses bras. Je me sens bien, mais il faut partir. Je me détache brusquement de lui et m’engouffre dans ma voiture.
— Il faut que je parte.
— Reviendras-tu ?
— Non ! Mais je n’oublierai jamais.
Mes yeux se perdent une dernière fois dans son regard envoûtant. Enfin, je me décide, allume le moteur et démarre. À nouveau sur ...
... l’autoroute, je roule doucement. Je me sens bien, heureuse d’être parvenue à vaincre toute inhibition et d’avoir vécu une aventure peu banale. Lorsque j’arrive à l’Ermitage, il est déjà très tard. J’ai peur de devoir réveiller Marie-Rose. Mes craintes se dissipent très vite lorsque j’aperçois la lumière qui filtre à travers les volets de son appartement. En fait, elle occupe le rez-de-chaussée nord. Je sors mes bagages de la voiture lorsque la porte d’entrée s’ouvre. Marie-Rose m’accueille chaleureusement comme elle le fait depuis que je suis toute petite.
— Alors, comme ça, tu as eu des ennuis mécaniques ?
— Oui ! Heureusement, j’ai réussi à trouver un garage ouvert….
Je lui raconte brièvement comment je me suis retrouvée égarée dans une cité, à la recherche d’un mécanicien. Pour la suite, je suis obligée de mentir et je lui dis qu’il m’a fallu attendre la fin de la réparation pour partir.
— Viens ! Ne reste pas là ! Entre, je vais te préparer à manger.
— Merci, mais j’ai dîné avant de repartir.
Une petite brise s’insinue alors entre mes cuisses, me rappelant une version bien différente de ma soirée. Je réalise soudain que je suis resté sans dessous. Je rajoute alors :
— Je suis complètement exténuée, je crois que je vais aller me coucher tout de suite.
— Bien sûr. Ta chambre est prête. Au fait, toutes mes félicitations pour ta promotion…
— Qui te l’a dit ? Je voulais te faire la surprise…
— Tu sais comment est ton père !
Je lui résume donc brièvement comment je ...