L'ascenseur
Datte: 15/05/2020,
Catégories:
fhhh,
inconnu,
ascenseur,
fsoumise,
massage,
pénétratio,
occasion,
lieuxpubl,
Auteur: Fantasio, Source: Revebebe
... soudain son corps. Si le premier contact a pu être accidentel, le second ne laisse aucun doute sur l’intentionnalité du geste. Pour pouvoir caresser ainsi ses deux jambes, l’homme doit être placé juste derrière, pense-t-elle. Bousculant les passagers qui l’entourent, elle essaye de se retourner pour défier du regard le pervers qui vient de la caresser à deux reprises, mais son angoisse monte encore d’un cran en constatant que l’homme tient un journal plié devant lui et qu’un attaché-case pend de son autre bras. Coincés comme ils le sont, jamais il n’aurait eu le temps de la caresser et de reprendre sa position sans attirer l’attention.
Alors que l’esprit de la jeune femme est traversé d’une tempête de pensées inquiétantes, l’ascenseur s’arrête brusquement au niveau du 40e étage, plongeant l’habitacle dans la pénombre. Sous la faible lumière bleutée de la veilleuse de sécurité, les passagers commencent à s’agiter, murmurent quelques jurons, consultent nerveusement leur montre. Au bout de quelques secondes, une voix féminine grésille dans l’interphone :
—Mesdames, Messieurs, nous nous excusons pour cet incident et vous demandons de rester calmes. L’ordinateur qui commande les ascenseurs vient de tomber en panne. Un technicien se rend immédiatement dans la salle des machines pour enclencher la mise en marche manuelle. Le tout ne devrait prendre que quelques minutes. Nous vous remercions pour votre compréhension.
Plongée dans ses pensées, Mireille n’entend pas ...
... grand-chose de l’annonce. Seules les caresses qu’elle vient de subir occupent son corps et son esprit. Elle n’a d’ailleurs pas le temps de s’interroger sur le contenu du message car, dès que la voix s’est tue, les mains baladeuses ont repris leur exploration. En effleurant d’abord doucement sa peau de plus en plus brûlante, puis en saisissant ses chairs avec plus de fermeté.
Mireille n’ose plus bouger. Son cœur bat à tout rompre. Ses yeux s’agitent fiévreusement comme une biche prise au piège et tentant vainement d’identifier son chasseur. Mais dans la pénombre qui baigne la forêt de corps, tout est immobile. Elle réalise qu’elle est entourée d’un mur infranchissable de costumes noirs dont certains viennent de la choisir pour partir à la découverte de ses territoires les plus secrets.
Tout en restant discrètes, les mains inconnues deviennent plus audacieuses, se glissant sous la jupe, effleurant le repli sensuel qui marque le début des fesses. Elles vont et viennent comme en terrain conquis, s’arrêtant parfois pour apprécier la fermeté de la chair moite et chaude, se faisant ensuite plus légères pour suivre du bout des doigts le délicieux arrondi du petit cul offert à leur convoitise.
Mireille serre nerveusement ses bras contre sa poitrine, écrasant douloureusement ses seins. Ses tétons sont durs et dressés, et elle ne peut rien contre cette excitation qui prend peu à peu le contrôle de son corps. Elle transpire, et les gouttes de sueur coulent le long de son cou, entre ses ...