1. L'ascenseur


    Datte: 15/05/2020, Catégories: fhhh, inconnu, ascenseur, fsoumise, massage, pénétratio, occasion, lieuxpubl, Auteur: Fantasio, Source: Revebebe

    ... et chaque attaque déclenche des éclairs de plaisir dans le corps de Mireille.
    
    Sous la jupe, les quatre premiers explorateurs continuent à couvrir le terrain, glissant, griffant, pétrissant les chairs. Chacun à leur tour, ils remontent entre les cuisses pour recueillir quelques gouttes du jus intime qui commence à percer sous la culotte de coton. Puis ils s’éloignent avec leur précieuse moisson pour l’apporter en offrande salée aux généraux qui les commandent.
    
    Depuis de longues minutes, Mireille a quitté l’ascenseur. Elle a fermé les yeux et son esprit s’est perdu dans son corps enfiévré. Un corps plongé dans un océan de plaisir, ballotté par les vagues et les courants qui l’emportent, livré à la tempête qui fait rage au plus profond de ses entrailles. Elle s’élève. Elle flotte à vingt centimètres du sol, portée par deux nouvelles mains qui l’ont saisie par les aisselles. Le moment est venu pour les envahisseurs de consommer leur proie.
    
    Obéissant à un ordre silencieux, les quatre mains qui s’activaient sur les cuisses se rejoignent autour de la taille de Mireille. Tels des crochets mécaniques, les doigts se glissent sous l’élastique de la culotte et, telle une troupe de corsaires, commencent à baisser lentement le pavillon de coton blanc, symbole de la capture définitive d’une bien jolie goélette. Lorsqu’ils atteignent le cap de « belle opulence » et ses deux collines blanches, un doigt facétieux tire fortement sur l’élastique du slip avant de le lâcher dans un ...
    ... claquement sec, marquant d’une zébrure rouge le point le plus proéminent du territoire conquis. L’oriflamme poursuit sa descente le long des mâts brillants, d’abord ralentie par la moiteur des chairs qui tentent de la retenir, puis enfin libérée, tombant comme emportée par une légère brise de mer jusqu’au sol de la cabine.
    
    C’est au tour du bouton de la jupe de céder sous la manœuvre experte de deux doigts agiles. Puis, de la fermeture éclair qui descend dans un sifflement métallique pour libérer le tissu léger qui s’en va rejoindre la culotte abandonnée sur le sol. Enfin, on remonte le tee-shirt au-dessus des seins dont les mamelons incandescents ressemblent à des feux de détresse au milieu d’une mer démontée.
    
    Mireille est nue de la poitrine jusqu’aux pieds. Elle n’a conservé que ses sandales à lacets et son tee-shirt remonté à hauteur du cou. Une fraîcheur bienvenue caresse son intimité dévoilée. Elle a les yeux fermés comme ceux d’un Christ en croix. Comme lui, elle a quitté la terre des hommes pour rejoindre un autre paradis, où elle s’apprête à s’offrir à ceux qui voudront bien la prendre.
    
    Des mains se posent sous ses cuisses, les soulèvent et les écartent lentement, jusqu’à ce qu’elles se retrouvent à l’horizontale de part et d’autre de son buste. Le sexe de Mireille est ouvert comme une fleur de printemps. Les pétales roses brillent sous les perles d’une rosée parfumée aux embruns de paradis. Libéré de son capuchon, le clitoris étamine dresse fièrement sa tête ...
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