Irréparable (Revisiter le Mythe)
Datte: 12/05/2020,
Catégories:
fh,
bizarre,
fdomine,
humilié(e),
contrainte,
pénétratio,
attache,
yeuxbandés,
nonéro,
Auteur: @+ch0uM, Source: Revebebe
... Elle va encore me frapper, j’en suis certain.
Je frissonne. Ses doigts tapotent doucement mon sexe, qui recommence tout naturellement à se raidir à nouveau. Sa main est caressante. Je sens qu’elle se redresse, qu’elle est là, juste au-dessus de ma verge. Qu’est-ce qu’elle me prépare ?
— Ah ! C’est froid !
— Eh bien ? Il va falloir t’y habituer !…
Elle a versé son insupportable huile de noisette sur ma bite, je sens ses mains glisser dessus, l’étaler, rouler sous mes testicules, remonter à l’intérieur de mes cuisses, le long de l’aine et frotter mon ventre avec force. Elle verse un nouveau filet d’huile de mon pubis à mon cou. Je n’ose même pas imaginer l’état du lit, des draps, du matelas…
Elle me masse soigneusement en dessinant des cercles sur ma peau, de mon ventre aux épaules. L’odeur est insupportable, j’en réprime quelques haut-le-cœur.
Elle pose ses deux mains sur ma poitrine et enjambe mon ventre pour se placer à nouveau à califourchon contre mon pénis qui s’est légèrement dégonflé. D’une main, elle le guide entre ses fesses et le maintient alors qu’elle entame des mouvements de va-et-vient. Son souffle se fait lourd et court, et je perçois comme un clapot au niveau de mon bas-ventre : elle mouille tout ce qu’elle sait !
Elle suspend un instant son trot enlevé, reste suspendue une seconde, et retombe d’un coup sur mon mât, qui s’enfonce jusqu’à la garde.
Ça brûle ! J’ai l’impression de m’être fait « éplucher » !
Elle pousse un cri animal, ...
... et reste immobile, mon épieu déchiré profondément fiché en elle. Je me mords la lèvre inférieure, mes yeux sont crispés au point de me faire mal, eux aussi. Mes larmes coulent sur mes tempes. Mon corps est une plaie ouverte.
Elle recommence ses va-et-vient, lentement, elle remonte le plus haut qu’elle peut, à la limite de « déjanter », et se laisse retomber de tout son poids. Elle ponctue chaque mouvement d’un grognement bestial, et repart de plus belle, de plus en plus vite, ses mouvements sont de plus en plus désordonnés, ses genoux se serrent compulsivement autour de mes hanches.
Ses mains plaquées sur ma poitrine écrasent ma cage thoracique et imposent leur rythme à ma respiration : nous haletons à l’unisson, mais ce n’est pour moi qu’une question de survie, pour ne pas périr étouffé dans l’instant.
Ses doigts se crispent, ses ongles labourent ma poitrine.
Soudain, elle se raidit, je sens son sexe se serrer autour du mien, elle s’immobilise à nouveau. Je sens ses muscles vaginaux se contracter autour de ma queue, se relâcher, se contracter, quatre, cinq fois, de plus en plus vite, je la sens se tordre, je l’entends gémir, elle se trémousse sur mon mandrin, qui ne résistera pas bien longtemps à ce traitement, je sens que mon éjaculation est proche, je sens monter la sève…
Elle s’est arrêtée de respirer, elle couine faiblement en ondulant du bassin, elle me laboure la poitrine de ses ongles acérés comme des serres, mes jambes sont lourdes, mes doigts de pied ...