Confessions d'une esclave sexuelle (6)
Datte: 08/05/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: Bison noir, Source: Xstory
... montrait tout le contenu que j’avalais par la suite. Parfois, il me demandait de recracher le sperme dans ma main et de me badigeonner le visage avec. C’était, en quelque sorte, du 2 en 1, un très bon compromis pour lui. Au départ, je me sentais vraiment humiliée en faisant cela. Ensuite, cela devenait pour moi un jeu qui m’amusait beaucoup. J’étais vraiment une salope ! Une fois fini, il pouvait m’autoriser à aller me rincer le visage ou sinon je devais rester à 4 pattes, au pied du canapé, le visage couvert de sperme. Je lui servais généralement de repose-pied. Cela pouvait durer deux bonnes heures avant que je n’aille faire à manger.
Pour la préparation du repas, j’avais carte blanche. C’est moi qui décidais du menu. J’étais au courant des plats qu’il détestait : choux de Bruxelles, choucroute, etc. Lorsque la bouffe n’était pas bonne ou que le plat ne le faisait pas rêver, il ne se gênait évidemment pas pour me le dire et pour me punir. Les punitions étaient très variables : cela pouvait aller de la nourriture jetée en plein visage que je devais ensuite manger à même le sol pour nettoyer ou d’une pipe suivie d’une sodomie à sec par terre sans aucune préparation. Les premières fois qu’il faisait ça, mon anus était littéralement déchiré, ce qui me faisait saigner. La douleur était horrible. J’avais du mal à m’asseoir les jours suivants. A la fin, j’apprenais à prendre du plaisir lorsqu’il me cassait le cul de cette manière et j’avoue avoir quelques fois fait exprès de ...
... rater le repas pour qu’il puisse me défoncer ainsi... Il n’était pas bête, je pense qu’il comprenait qu’il m’arrivait de faire exprès, mais je crois que cela l’excitait autant que moi, il ne m’a jamais rien dit à ce sujet.
Au moment du dîner, je lui servais le repas dans son assiette. Il était assis à table. Lorsqu’il était de bonne humeur, j’avais le droit au même repas que lui. Cependant, comme j’étais une chienne, ma place n’était pas à table. Il me servait le repas dans une gamelle pour chien et je devais la manger à 4 pattes par terre, sans m’aider des mains. Je n’avais bien évidemment pas de couvert. Il aimait me répéter : “Qui a déjà vu un chien manger avec des couverts ?!”. Pour certains repas, c’était un véritable calvaire. De plus, si j’en mettais partout, j’étais bien sûr punie. Par exemple, il adorait m’enfoncer ses couverts dans la chatte. Sinon, j’avais droit au fouet de cheval après le repas, celui qui vous marque bien les fesses... ça, c’est quand il était de bonne humeur...
Lorsque ce n’était pas le cas, plusieurs options s’offraient à lui.
La première, la moins pire, était de me priver de manger. Je devais rester avec lui pour le servir. Parfois, je n’avais strictement rien fait, mais il refusait que je mange... Il m’est arrivé de rester deux jours sans manger et gare à moi si je trichais le midi au boulot... Je n’ai d’ailleurs jamais osé le faire !
La seconde (en fait, je ne saurai pas dans quel ordre la classer par rapport à la 3ème) était de me ...