1. Confessions d'une esclave sexuelle (6)


    Datte: 08/05/2020, Catégories: Trash, Auteur: Bison noir, Source: Xstory

    Avant de poursuivre mon récit, je tenais à vous préciser désormais son déroulement. Dans ce chapitre, je vais vous parler d’une journée classique avec mon Maître. Ensuite, dans les chapitres suivants, je vous raconterai des événements marquants de mon année d’esclave.
    
    Suite à la demande de mon Maître de modifier mes horaires afin de finir plus tôt le soir, je suis allée voir mon patron dès le lundi matin. Je n’ai même pas eu besoin de trouver un prétexte pour les modifier. C’est quelqu’un de très humain et de très compréhensif. Il a été très présent pour moi lorsqu’il m’a embauchée quand j’étais en pleine reconstruction. Je le respecte et l’apprécie énormément. Mes nouveaux horaires étaient donc 8h30-12h et 13h-16h30. J’avais une heure pour rentrer avant mon Maître, ce qui était largement suffisant.
    
    Le matin, je me réveillais aux alentours de 6h. Quelquefois, j’avais la désagréable surprise d’avoir du sperme séché sur le visage. En effet, lorsque mon Maître n’arrivait pas à dormir, il aimait se branler et m’éjaculer dessus pendant mon sommeil. Une fois debout, je devais aller me doucher, préparer le petit-déjeuner et le déjeuner du midi de mon Maître qu’il emmenait à son boulot. Je m’occupais également des vêtements qu’il allait porter. Son réveil était à 7h. Je me pressais d’avoir tout fini à cette heure-là, car mon rôle était d’être son réveil. J’étais chargée de le sucer pour cela. Il se finissait systématiquement dans ma bouche et il me conseillait fortement ...
    ... d’avaler, car c’était le seul petit-déjeuner dont j’avais le droit. Pendant un peu plus d’un an, la seule chose que j’avais dans le ventre avant d’arriver au travail était le sperme de mon Maître.
    
    Lorsque mon Maître était prêt, je l’emmenais en voiture à son travail et je me dépêchais d’arriver au mien. Pour ne pas être totalement coupée du monde et éveiller des questions/soupçons auprès de mes proches, il m’avait rendu mon téléphone durant mes heures de travail. Cependant, il avait placé un logiciel espion dedans. Il était donc au courant de chaque appel et chaque SMS que je recevais. Avant de répondre, j’avais l’obligation de lui envoyer un message lui demandant l’autorisation pour répondre. Globalement, j’avais le droit de répondre à tout, mais je devais écrire ce qu’il me disait. Par exemple, les premiers temps, lorsque mes copines me proposaient de sortir, il me donnait toujours un prétexte pour refuser. Certaines ont d’ailleurs commencé à croire que j’avais un petit copain... Si seulement elles connaissaient ma relation ! Cette pensée me faisait sourire.
    
    A 16h30, je quittais mon travail. Environ un jour sur trois, je m’arrêtais faire des courses au supermarché en bas de chez lui. Il fallait vraiment que je me hâte, car j’avais toujours cette pression de devoir rentrer avant lui et l’attendre dans ma tenue d’esclave. Il me remboursait un quart du ticket de caisse pour les courses (ça, c’est quand il était de bonne humeur, sinon il ne me remboursait rien).
    
    En rentrant, ...
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