1. Confessions d'une esclave sexuelle (6)


    Datte: 08/05/2020, Catégories: Trash, Auteur: Bison noir, Source: Xstory

    ... je rangeais donc les courses (lorsque j’en avais fait) puis je déposais l’ensemble de mes affaires au pied du canapé. Le téléphone devait être sorti et posé sur le canapé. Ensuite, je l’attendais à genoux sur le carrelage froid derrière la porte d’entrée, comme un chien fidèle attend le retour de son maître après le travail. Il arrivait qu’il rentre bien plus tard que 17h30 s’il sortait avec ses amis après le taf. Bien sûr, il ne me prévenait jamais de l’heure à laquelle il allait arriver. Je pouvais donc rester ainsi de longues heures à l’attendre nue sur le carrelage, n’osant pas bouger, par crainte qu’il rentre à tout moment et me punisse sévèrement si je n’étais pas derrière la porte à l’attendre.
    
    Lorsqu’il rentrait du boulot, il avait toujours le même rituel : il me crachait au visage en essayant de viser la bouche, ce qu’il ne parvenait pas toujours à faire. Il n’était donc pas rare que je me retrouve avec son crachat dégoulinant le long de mon front, mes yeux ou mon menton. Je n’avais bien entendu absolument pas le droit de m’essuyer, car cela aurait signifié un refus de recevoir son crachat, et je m’exposais à une très grosse sanction. Ce crachat était en guise de bonjour, comme les amis se font la bise ou lorsqu’un couple se fait un smack.
    
    Ensuite, il allait directement se poser sur son canapé pour allumer la télé et regarder son émission sportive. Je lui apportais sa bière décapsulée puis je devais lui enlever ses baskets et ses chaussettes. À genoux, je ...
    ... devais lui lécher les pieds. Après une journée entière de travail, je vous laisse imaginer l’odeur... Les premières fois, cela me donnait vraiment envie de vomir. Au fur et à mesure, cela devenait tellement une habitude que ça ne me faisait plus aucun effet, mis à part la fierté de servir mon Maître et d’être une bonne chienne soumise. Je léchais onctueusement le dessous de ses pieds comme on le fait avec une glace, puis le dessus. Je finissais par sucer son orteil comme s’il s’agissait de son gland et j’enfonçais du mieux possible l’ensemble de ses doigts de pieds au fond de ma bouche, ce qui entraînait souvent des haut-le-cœur. Il n’était pas rare, une fois ses pieds pleins de bave, qu’il s’amuse à se les essuyer sur mon visage.
    
    Lorsque ce petit jeu était terminé, je devais lui retirer son pantalon et le sucer. Inutile de vous dire qu’après ce que je venais de faire avec ses pieds, sa bite était dure comme du béton. Je savais que si je ne voulais pas me faire trop gifler, je devais m’appliquer en lui faisant une belle gorge profonde. Il adorait ça ! C’est ce que je faisais quasiment tout le temps, mais cela ne l’empêchait pas de me gifler par pur plaisir. Je savais reconnaître une gifle donnée par plaisir, et une par punition. Au moment de l’éjaculation, 2 choix s’offraient à lui et il décidait selon son humeur. Soit c’était une faciale, soit c’était dans la bouche. Lorsque c’était dans la bouche, je devais garder le sperme, me rapprocher de lui la bouche ouverte, et lui ...
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