Confessions d'une esclave sexuelle (6)
Datte: 08/05/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: Bison noir, Source: Xstory
... servir dans ma gamelle des croquettes pour chien. Là, je dois avouer que niveau humiliation, on n’était pas mal... Je me rappelle de la première fois où il m’a sorti ça... L’odeur était particulièrement terrible et le goût vraiment abominable. Je n’ai pas pu m’empêcher de vomir dans la gamelle. Passablement énervé, il m’avait dit que je ne partirais pas d’ici tant qu’il resterait à manger et que la gamelle ne serait pas propre. J’ai donc été obligée de manger ces maudites croquettes, accompagnées de mon vomi... Une expérience que je ne souhaite à personne ! Au fil du temps, j’ai réussi à me faire plus au moins au goût des croquettes, même si je crois que l’on ne s’y fait jamais au final...
Enfin, la troisième option était de me fourrer la nourriture au plus profond de ma chatte. Toutes sortes de nourritures... : pâtes, viandes, légumes, pizzas, gratins... Tout pouvait y passer ! Je devais ensuite avec mes doigts récupérer la bouffe au fond de ma chatte, la ressortir et la manger. Il fallait que je veille à ce qu’il ne reste plus rien à l’intérieur. J’étais donc obligée de me triturer la chatte dans le moindre recoin pour récupérer des miettes de nourritures. Il m’appelait “la dinde farcie”. Pour rajouter à l’humiliation, il aimait me cracher au visage durant ces moments-là. J’avoue avoir pris très peu de plaisir dans ces deux dernières situations... Mais cela faisait partie du jeu !
Heureusement pour moi, j’étais quand même bonne cuisinière. Il était donc rare qu’il ...
... soit de mauvaise humeur au moment du repas, mais je souhaitais tout de même vous faire part de ces expériences marquantes qui sont arrivées quelques fois.
Après le repas, il se posait généralement sur le canapé pour regarder la télé : des émissions politiques ou des films / séries. La grande majorité du temps, il acceptait que je reste avec lui. Je n’avais toujours pas le droit de monter sur le canapé, je restais donc à genoux ou en tailleur par terre. Durant ces moments-là, nous échangions sur notre journée, sur notre vie. C’était le moment où la pression se relâchait. Nous avions encore besoin de faire connaissance. Je lui parlais de mes parents, de Jérôme (il avait l’air de le détester et j’adorais ça !), de mes relations avec mon fils, de mon boulot, de cet employé dégueulasse qui me relookait de manière malsaine, de mes copines, etc. Il aimait aussi se confier sur sa vie privée. Il était fils unique et n’avait connu que des échecs sentimentalement. Même s’il me faisait vivre parfois l’enfer et ne manquait pas d’ingéniosité dans la cruauté et la perversité de certaines situations, il devait être un petit copain parfait, avenant et bienveillant avec ses copines. Il a d’ailleurs toujours gardé de très bonnes relations avec ses ex, mais pour des raisons x ou y, aucune relation n’a réussi à durer sur du très long terme. Il était perturbé par cela et j’étais là pour l’écouter et le réconforter. C’était un garçon également entouré de beaucoup d’amis qu’ils voyaient souvent les ...