1. Un amour... de maison


    Datte: 07/05/2020, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, délire, fantastiqu, poils, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... je ne suis pas comme ça ! Ton clitounet, je le bichonnerai.
    
    À peine avait-il prononcé ces mots qu’un bruit assourdissant lui explosa la tête. Il raccrocha et chercha l’origine de tout ce tintamarre. Ça venait de l’étage. Il avait laissé la fenêtre de sa chambre ouverte et le vent, ce trublion, l’avait fait claquer. Il termina son déjeuner à l’arrache ; il avait deux heures pour rejoindre l’aéroport de XxxxX. Préparer son bagage lui prit cinq minutes. Une douche plus tard, il appelait un taxi. Il allait se faire un petit extra financier et résoudre son problème glandulaire. Que demandait le peuple ?
    
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    Maxime revint seulement le samedi suivant. Après la semaine de boulot, Marcia et lui s’étaient octroyé deux jours de bonus dans un petit hôtel loin de tout où ils avaient partagé leur temps entre de longues séances de baise, de longues balades en forêt et des escapades culinaires. Maxime n’avait pu s’empêcher de raconter son rêve. Rien ne se serait passé si, au cours d’une de leur randos, ils n’avaient trouvé plusieurs plumes d’un volatile indéterminé. Ils les avaient ramassées. Après les avoir soigneusement lavées et désinfectées, ils les avaient utilisées pour leur plus grand plaisir. Sans retrouver les sensations proches du divin de son rêve, il s’en approcha. Quand à son tour il en fit profiter Marcia, elle grimpa aux rideaux.
    
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    Elle avait bien failli le faire éjaculer, mais en bonne fille de Vénus elle s’en était rendu compte. Elle lui ...
    ... avait tordu « virilement » les roubignolles et lui avait tendu les plumes. Elle s’étendit sur le dos, mains croisées sous la tête, jambes nonchalamment allongées. Elle ferma les yeux. Elle attendait.
    
    Maxime, imitant sa dame du temps jadis, s’agenouilla. Il inséra une des plumes entre les cuisses, entre les lèvres moites de Marcia. Il la fit glisser jusqu’à ce que la pointe touche le drap. De l’étendard de la seconde, il lutina un téton puis l’autre. Il la promena de l’un à l’autre, n’ignorant aucun millimètre carré de la poitrine. La base des mamelles assez fortes de Marcia retombait sur le buste, créant un étroit couloir. Il s’amusa à glisser son instrument de torture dans cet interstice. Le corps de Marcia était parcouru de petits frissons, sa peau se hérissait comme si elle avait froid. Elle voulut s’emparer de l’autre plume pour se caresser la chatte. Maxime lui ramena sa main derrière sa tête.
    
    — Tu es bien pressée. Laisse-moi faire.
    — Tu es marrant. J’en peux plus. Caresse-moi.
    — Encore un peu de patience, mon beau commandant.
    
    Il la fit languir encore quelques petites minutes. La « beau commandant » se tortillait tant et plus. Elle frottait ses cuisses l’une contre l’autre : ainsi la plume, unique objet de ses désirs, bougeait, caressait, titillait sa vulve, son encapuchonné à moustache (Marcia, comme Sabine, était de la vieille école : elle refusait totalement de discipliner sa toison). N’osant enfreindre l’ordre de se toucher, elle avait empoigné la hampe en ...
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