1. Un amour... de maison


    Datte: 07/05/2020, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, délire, fantastiqu, poils, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... roses. Les pinçant entre pouce et index, elle les tritura dans des étirements tournants. Maxime, dans son rêve, commença à bander. Deux plumes blanches apparurent dans la main de sa tourmenteuse. Les utilisant comme un pinceau, dans un geste aérien elle balaya tout son torse pour atteindre un mât qui se dressait fièrement. Les plumes s’attaquèrent alors à cette hampe. L’une par la droite, l’autre par la gauche, elles le frôlaient, l’effleuraient, provoquant de sensations inconnues.
    
    Un sursaut de conscience ! Il fallait qu’il se réveille sinon les draps allaient encore dérouiller. Il se redressa sur son lit, transpirant, la bite en émoi. Il chercha vainement dans la pénombre de la chambre la jeune femme. Personne, évidemment ! Ce n’était qu’un rêve. Pourtant, cela lui avait paru si réel… Il sentait encore sur son membre les frôlements des plumes. Il n’avait jamais ressenti une montée du plaisir aussi délicate. Une furieuse envie de se branler le tenaillait. Il se retint. Contrairement à beaucoup de mecs, il avait une espèce de réticence par rapport au plaisir onaniste. Il y avait recours, évidemment, mais en dernière extrémité. Et il n’en était pas là.
    
    Quand il parvint à chasser ces images, il se leva, descendit à la cuisine et se servit un grand verre d’eau glacée. Il s’ébroua et remonta se coucher. Il se rendormit sans grande difficulté avec, gravées sur ses rétines, deux plumes blanches. Il ne fallut guère de temps pour que la jeune femme réapparaisse. Si elle ...
    ... portait toujours le loup noir qui dissimulait une partie de son visage, elle avait troqué la sage tenue de jeune fille de bonne famille, version 1900, pour une « guêpière » de la même époque genre cocotte. Il appelait ça « guêpière » à défaut de trouver un nom plus approprié à cette espèce de corset blanc qui enserrait la taille de la damoiselle, remontant ses petits seins ronds d’adolescente à tel point qu’un bout du téton gauche dépassait. Corset qui se prolongeait par une espèce de jupon vaporeux lui arrivant à mi-cuisses. La lumière bleutée de la nuit faisait ressortir la blancheur laiteuse de sa peau.
    
    Elle n’avait pas lâché les deux plumes blanches. Contournant le lit, elle l’escalada, s’agenouilla et reprit son jeu là où le brusque réveil de Maxime l’avait arrêté précédemment. L’érection fut instantanée. Simplement en utilisant le langage des plumes, elle lui fit ouvrir ses cuisses, ce qui lui permit d’aller chatouiller les boules à la peau tendue par le désir. Elle introduisit l’une d’elle dans la raie culière. Par de lents va-et-vient, elle obtint que les lunes s’ouvrent, et du stylet elle agaça une rosette qui se contractait à chaque effleurement. Maxime n’était pas homme à rester passif. Il voulut se redresser, enlacer la jeune fille dans l’intention évidente de goûter à sa bouche. La belle ne l’entendait pas ainsi. Elle le renvoya sur son drap du plat de la main puis, portant l’index à la bouche, lui signifia de se taire et, sous-entendu, de se laisser faire.
    
    Elle ...
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