Un amour... de maison
Datte: 07/05/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
délire,
fantastiqu,
poils,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... !
Il reprit son cunni là où il l’avait laissé. Ces multiples interventions l’avaient perturbé. Son excitation était tombée aussi s’appliqua-t-il à mignarder avec conscience ce minou de plus en plus humide. Sabine ne tarda pas à soupirer et à frétiller du bassin. Alors que Maxime retrouvait un semblant d’érection, que Sabine semblait atteindre le point de non-retour, elle l’envoya soudainement dinguer sans ménagement contre le dossier du canapé.
— C’est pas vrai ! T’es complètement marteau.
Maxime était abasourdi ! Qu’est-ce qui lui prenait ? Avant qu’il ait le temps de s’enquérir du pourquoi du comment de sa fureur, elle continuait :
— T’es vraiment un connard ! C’est ton nouveau jeu de faire mal ? Tu veux vraiment me faire payer ? C’est pas moi qui t’ai demandé de me baiser ! T’étais partant plutôt deux fois qu’une ! Si ta femme t’a viré, ce n’est pas à cause de moi mais à cause de l’ensemble de ton œuvre.
— Mais, Sabine…
— Mais Sabine, le singea-t-elle. Tu m’as mordu le clito jusqu’au sang, connard.
— Je ne t’ai pas mordue.
— Tu ne m’as pas mordue ! Ah bon ? Et ça, c’est quoi ?
Elle lui tendait son index sur lequel elle avait recueilli une goutte de sang. Maxime était effondré. Il ne l’avait pas mordue. Il en était sûr. Pourtant ce sang. Il ne comprenait pas, mais alors pas du tout. Sabine avait déjà réenfilé sa robe. Elle continuait de tempêter :
— Si tu voulais te débarrasser de moi, tu as trouvé le bon moyen.
— C’est un malentendu, chérie. Si je ...
... t’ai mordue, je ne l’ai pas fait exprès. Je te demande pardon.
— Trouve-toi quelqu’un d’autre ! J’me casse !
Il se leva et voulut la prendre dans ses bras. Dans un premier temps, elle recula mais devant son air contrit, elle céda. Au moment où il allait l’enlacer pour la câliner, elle le projeta à nouveau vers l’arrière et recommença à l’invectiver. Ça devenait une habitude !
— Non seulement tu me mords, mais en plus t’invites ta grand-mère pour assister au spectacle ! T’es grave malade.
— Ma grand-mère ?
— La vieille avec ses besicles qui nous mate, c’est qui ? Pas ta nouvelle maîtresse quand même ? dit-elle en montrant un point derrière lui.
Instinctivement, il se retourna. Personne ! Cette fois, il comprit. Soit Sabine avait fumé un joint avant de venir, soit – ce qui était le plus probable – elle avait des hallucinations. Il la rattrapa par le bras.
— Tu dérailles complètement, ma pauvre !
— Ah, c’est moi qui déraille ? Et c’tte vieille peau tout droit sortie d’un film d’horreur, je l’invente peut-être ?
— …
— Aïe ! Putain la salope ! Une baffe maintenant !
Elle se tut quelques secondes, semblant écouter quelqu’un.
— Je maintiens, salope et vieille peau, et ne vous avisez pas de me retoucher car je vous en fous une dont vous vous souviendrez, avec tout le respect que je dois aux centenaires.
— Sabine ! Y a personne ! T’es où, là ? Atterris ! essaya-t-il en lui prenant le bras.
— Lâche-moi, espèce de taré ! Et toi, la morue, t’arrêtes de te marrer ...