Un homme heureux - Histoires de Sexe

Un homme heureux

... font basculer. Je me retrouve sur le dos, le mat dressé à la verticale.

— Oh, tu as vu, le cochon ! s’exclame Aline. Il faut le calmer.

Elle se penche et m’enfourne. Nathalie ma caresse les couilles. Après quelques minutes, Aline s’exclame :

— Tu pourrais m’aider, c’est moi qui fais tout le boulot !
— Ça va, je te remplace.

C’est différent, mais formidable quand même, je suis aux anges. Aline, sans complexe, se met à cheval sur mon visage, son cul me privant de respiration, je n’ai plus qu’une solution, le bouffer pour qu’elle se soulève un peu.

La pompe qui me donnait tant de plaisir au bas s’est arrêtée. Mais mon organe n’est pas abandonné pour autant, je sens Nathalie qui se baise. Et je les entends toutes les deux s’embrasser au-dessus de moi. Je ne peux résister longtemps, et elles non plus. La pyramide s’écroule dans un cri de jouissance unanime.

— Salopes, vous m’avez tué.
— C’était pour te remercier de m’avoir accueilli, dit Nathalie. Mais c’est Aline qui en a eu l’idée, elle voulait, elle aussi, te remercier de ne pas l’avoir trompée.
— Mais je te préviens, nous ne voulons plus d’autres filles, reprend en riant cette dernière.

Nous avons dormi tous les trois dans le même lit. Placé entre les deux, je ne savais où donner de la tête, ni des mains.

Le lendemain soir, quand je suis entré, toutes les deux, assises sur le canapé, m’attendaient.

— Laurent, nous avons passé une soirée merveilleuse. Mais nous ne pouvons pas continuer ainsi, me ...

... dit Nathalie. Une copine m’a offert de m’héberger, je partirai ce week-end.
— Mais tu seras toujours la bienvenue parmi nous, ajoute Aline.
— Eh, est-ce que j’ai droit à la parole, demandais-je, je suis chez moi je crois !

Elles ont éclaté de rire.

— Sois rassuré, ce soir tu n’auras pas à t’occuper de moi me dit Aline, « ils sont arrivés. Mais je ne vais pas te laisser à jeun, Nathalie est d’accord pour me remplacer. Je dormirai dans sa chambre. Mais je veux quand même vérifier que tu te comportes bien.

Et ce soir-là, j’ai eu encore droit au bonheur. Nathalie m’a soigné d’une manière différente, mais tout aussi bonne. Il n’y a eu que la fin qui a un peu varié. Elle a voulu que je la prenne en levrette. Puis à un moment elle s’est dégagée et mon sexe a été pris en main par Aline pour le présenter à l’entrée de service. Et pour la première fois j’ai goûté aux plaisirs interdits, mais tellement bons.

En voyant combien j’appréciais cette manière, Aline a dit :

— Il faudra que je m’y mette, moi aussi. Je compte sur toi Laurent.

Je me suis écroulé, j’ai dormi comme une souche. Heureusement qu’on est vendredi !

Nous voilà à nouveau tous les deux, tranquilles. Souvent un coup de fil de Nathalie. Les jours où Aline est là, c’est elle qui prend l’appareil et, heureusement qu’il fonctionne sur Internet, sinon quelle note j’aurai !

Aline m’avait promis de se laisser sodomiser. J’étais d’accord, mais je ne voulais pas la contraindre à exécuter une promesse qu’elle ...