1. Un homme heureux


    Datte: 03/05/2020, Catégories: 69, pénétratio, fsodo, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... avait peut-être faite dans un moment d’excitation.
    
    Pourtant, un soir, c’est elle qui m’a provoqué. Nous avons entamé une séance particulièrement chaude, sommes arrivés au point critique de la levrette. Elle m’a dit :
    
    — Vas-y, encule-moi.
    — Attends, lui ai-je répondu, si je fais ça à sec, tu vas souffrir le martyre et je vais te dégoûter pour le restant de tes jours. Il faut te préparer.
    
    Je suis allé chercher un tube de crème solaire à défaut de vaseline. Patiemment j’ai déposé un baiser sur la partie promise au sacrifice. Ma langue s’est activée, un doigt s’est aventuré. Une légère contraction, puis relâchement. J’ai agité ma main, ai ajouté un deuxième doigt. Ça passait. Prenant le tube de crème, j’ai enfoncé l’embout un peu long et j’ai garni le conduit.
    
    — Tu veux toujours, lui ai-je demandé.
    — Oui, mais vas-y doucement.
    
    Elle a pris ses fesses à deux mains et les a écartées. Alors j’ai appuyé lentement mais fermement. Une légère résistance, et le gland est passé d’un coup. Aline a gémi un instant, mais n’a pas protesté. Et comme, dit le proverbe « qui ne dit mot, consent », j’ai poursuivi ma progression jusqu’à ce que je m’appuie sur ses fesses. Je suis resté quelques secondes immobile et c’est elle qui m’a dit « vas-y, mais mollo ! ».
    
    J’ai mis la main sur le bouton, l’ai taquiné. D’abord lentement, puis j’ai accéléré la cadence. La crème avait bien préparé le terrain. Mais c’était vraiment trop bon et je n’ai pas pu tenir longtemps. J’ai explosé puis ...
    ... me suis retiré doucement. L’anneau s’est refermé lentement.
    
    — Je ne t’ai pas fait trop mal ?
    — Non, pas trop. C’est bizarre, gênant, différent, pas franchement douloureux. Mais je n’ai pas eu de plaisir.
    
    La vie a repris son cours normal. Les partiels approchent pour Aline. Elle a accepté mon invitation à rester chez moi jusqu’à la fin des examens. Elle bûche le soir à la bibliothèque, reprend ses bouquins dès qu’elle rentre. La plupart des étudiants travaillent à plusieurs pour traiter certains sujets. Un jour elle est rentrée tard, elle était chez un copain, Jean. Elle m’a demandé si le cas échéant, il pouvait venir travailler ici. Naturellement j’ai été d’accord.
    
    Et maintenant, en rentrant, je les trouve quelques fois plongés dans leurs livres, en pleine discussion. Le gars est vraiment sympa et nous l’avons invité un soir à rester pour manger.
    
    Les partiels ont été passés avec succès. Jean nous a invité chez lui à un apéro.
    
    Durant cette période de révision, Aline n’a pas eu trop le temps de m’accorder ses faveurs. Elle est souvent stressée, accepte de faire l’amour, mais ce n’est plus l’enthousiasme des débuts. Il est vrai que nous vivons dans deux mondes différents. Nous sommes amis, bien ensemble, mais c’est tout.
    
    Un dimanche soir, j’ai eu droit au grand cirque. Aline s’est surpassée et j’ai pu à nouveau goûter à son cul. J’étais enchanté. Après, tandis que nous nous reposions, elle m’a dit :
    
    — Laurent, nous sommes bien tous les deux, je t’aime bien, ...
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