1. Un homme heureux


    Datte: 03/05/2020, Catégories: 69, pénétratio, fsodo, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... quand il m’a vu derrière, il s’est calmé.
    
    — Je t’ai préparé tes affaires, mais tu peux rester. Je me suis un peu énervé l’autre soir, mais je le regrette. Nous sommes bien ensemble, je te jure, je ne le ferai plus.
    — File lui ses fringues en vitesse, elle part avec moi, lui dis-je.
    — Oh, toi, laisse-nous tranquilles, on n’a plus besoin de toi, me dit-il.
    — C’est moi qui vais m’expliquer avec toi. Je vais te montrer comment je règle mes comptes, tu n’es pas le premier avec qui je m’explique, et jusqu’à maintenant, les gars ont toujours été d’accord.
    — Bon ça va, qu’elle foute le camp. Mais il y a le loyer à régler, et tu as vécu tout le mois ici. File moi le pognon.
    — Le loyer se règle d’avance. Pour le mois prochain, comme elle ne sera pas là, à toi de payer. Et même il reste dix jours pour ce mois ci, tu dois les lui régler.
    — Putain, ne m’énerve pas sinon…
    — Sinon quoi ? Je tremble à la pensée que tu vas me frapper, lui dis-je en riant.
    — Bon fous le camp et que je ne te revois plus
    — Si, je reviendrai chercher le reste demain avec Laurent, lui dit-elle.
    — J’amènerai quelques copains pour aider à débarrasser, ajoutai-je.
    
    Nous avons pris les fringues, le poste de télé et l’ordinateur.
    
    Dans la voiture elle a éclaté de rire.
    
    — Moi qui en avais peur, c’est une lavette.
    — Il te laissera tranquille à présent.
    — Mais demain on y retourne ! Je ne veux rien lui laisser.
    
    Le lendemain nous sommes revenus. Elle a frappé, rien. La porte n’était pas fermée à ...
    ... clé. Toutes ses affaires étaient dans l’entrée, mais pas de mec. Nous avons pris et le tout et sommes repartis.
    
    Aline est revenue le lendemain. Une femme de temps en temps, c’est bien. Mais deux dans la maison, c’est trop. Je n’ai plus droit à la parole. Aline est rassurée, Nathalie aussi, son mec la laisse tranquille. Mais nous ne pouvons pas continuer à vivre ainsi. D’autant que Aline est là de plus en plus souvent. Elle a l’habitude de circuler à poil lorsqu’elle sort de la salle de bain et Nathalie fait de même. Je ne suis pas de bois. Je sens que je vais exploser !
    
    Cinq jours sont passés. Ce soir après manger, elles sont là, toutes deux en nuisette discutent sur le canapé. Je n’ai droit qu’à une chaise en face. Ce n’est pas confortable, certes, mais j’ai une vue imprenable sur deux minous. Je me trémousse, un peu serré dans mon jean.
    
    — Je crois que Laurent n’est pas bien, dit Aline.
    — Toi qui le pratiques, tu connais le remède ?
    — Oui, un bon massage, je veux bien le lui appliquer, mais j’ai besoin de ton aide.
    
    Et avant que j’aie eu le temps de donner mon avis, je me trouve entraîné dans la chambre, déshabillé, allongé à plat ventre, nu sur le lit. Je dois avouer que je n’ai fait aucun effort pour m’opposer à ces furies. Les deux nuisettes ont quitté leurs propriétaires.
    
    Je sens quatre mains qui me massent. Le cou, c’est bon, les reins, c’est délassant, en temps ordinaire, les fesses, c’est plus litige.
    
    — Retournons-le, dit soudain Aline.
    
    Elles me ...
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