Un homme heureux
Datte: 03/05/2020,
Catégories:
69,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... sur elle, me suis glissé dans son étui tiède.
Longtemps nous avons tangué l’un sur l’autre, basculant le couple pour qu’elle ait le dessus, puis revenant en position première. Quand mon désir devenait trop pressant, je ralentissais. Et c’est elle qui a cédé la première, nouant ses jambes autour de mes cuisses, crispant son vagin, j’ai craqué à mon tour.
Nous sommes restés un long moment enlacés, immobiles, cote à cote. Puis, mon sexe perdant sa fermeté, nous nous sommes désunis.
— C’est drôlement bon, me dit-elle.
— C’est vrai, je crois que ne n’avais jamais pris autant de plaisir avec une fille. Tu es formidable !
— Non, nous sommes simplement bien assortis, sur le plan sexuel, c’est tout.
Après une douche et un peu de repos, nous avons récidivé. Pour me remettre en état, elle a su, en m’absorbant jusqu’au fond du gosier, me rendre ma vigueur. Et à nouveau nous avons connu l’extase.
Nous avons passé un week-end sensationnel, alternant l’amour, la discussion, l’amour, la télévision, l’amour. Chaque interlude était là pour me permettre de reprendre des forces.
Et c’est seulement le dimanche après midi, que nous avons fait connaissance, administrativement parlant, si l’on peut dire. J’ai appris qu’elle était étudiante, qu’elle logeait chez ses parents dans un village à une quinzaine de kilomètres. Elle faisait le trajet tous les jours, en car ou en voiture. Elle était libre chez elle, certes, et dans la vie aussi.
Naturellement nous avons parlé de ...
... nous retrouver. Je lui ai proposé de venir quand elle voudrait, en me prévenant toute fois afin que je sois là.
— Je te comprends, je ne vais pas te faire louper un coup avec une autre fille.
Nous en avons ri. La situation est claire, nous restions libres.
Il ne se passe pas de semaine sans qu’elle vienne à une ou deux reprises. La première fois elle est rentrée tard chez elle, malgré mon invitation à coucher. La fois suivante, elle s’est rangée à ma proposition, est restée après l’amour. Elle vient maintenant régulièrement.
Nous sommes donc un couple puisque nous sommes deux, nous nous entendons bien, mais nous ne nous aimons pas vraiment. Rien ne nous lie, si ce n’est l’amitié et surtout le sexe. Pas de projet d’avenir, de maison, d’enfants. Et nous nous le répétons constamment : nous sommes libres.
Certains soirs de week-end, nous sortons en boite, mais pour moi, fini la chasse aux donzelles.
Ce mois de février est particulièrement glacial. Aujourd’hui Aline est restée à la maison. Il fait froid, elle a du travail en retard, veut bûcher. Et aussi, pas de temps perdu en trajet pour rentrer chez elle. Je décide d’aller faire un tour seul afin de la laisser tranquille.
J’ai l’habitude de fréquenter une boite sympa, hors de la ville. J’en aime bien l’ambiance. C’est l’occasion de retrouver des copains, garçons et filles. Ces dernières sont des amies, un peu plus parfois, mais sans engagement. On parle librement.
En, sortant de la boite à l’atmosphère ...