1. Isa : l'objet d'un couple dominateur


    Datte: 28/04/2020, Catégories: fh, ffh, hagé, couple, fsoumise, noculotte, Oral fgode, double, fdanus, coprolalie, uro, sm, attache, Auteur: Isamon, Source: Revebebe

    ... avoir mal entendu.
    
    — Lève la patte, comme une bonne petite chienne.
    
    Robert, qui était revenu, avait posé sa bière sur la table, et s’était planté derrière moi. Je levai la patte, et lui, à genoux derrière moi, se mit à me lécher la raie, faisant aller sa langue de mon anus jusqu’à mon clito, en léchant bien ma petite chatte au passage. Je sentais que je mouillais à nouveau, et ce salaud « buvait » littéralement ma mouille, j’entendais même les petits « clapotis » que faisait sa succion… Il s’allongea sur le dos et j’entendis Dorothée dire :
    
    — Mets tes deux cuisses au-dessus de son visage…
    
    Je reculai un peu et en effet je me retrouvai les deux jambes autour du visage de Robert allongé à terre.
    
    — Et maintenant, tu vas faire ton petit pipi de chienne sur ce gros vicieux, ordonna Dorothée.
    
    Je pensai que je n’y arriverais jamais, mais en poussant un peu, au bout d’un moment, je me lâchai et pissai sur le visage de ce vieux cochon de Robert qui, de ses deux mains, m’avait écarté les lèvres de la chatte et devait se délecter de voir le jet sortir… Cette nuit-là, mes deux vieux cochons me firent coucher dans leur lit, entre eux deux. Ils me tripotèrent encore pendant une heure ou deux, en faisant des commentaires comme si je n’entendais pas :
    
    — Regarde ce petit con qu’elle a…
    — Et ce p’tit cul, c’est adorable, n’est-ce pas ?
    — C’est vraiment une belle petite salope que tu m’as offerte, mon chéri, poursuivait Dorothée en léchant la langue de Robert sous mes ...
    ... yeux…
    
    J’étais leur jouet. Je leur offrais tout, dans une impudeur totale. Ma bouche où Robert revint mettre sa bite plusieurs fois, et dans laquelle il me gicla même tout son sperme, m’ordonnant une nouvelle fois de tout avaler, ma bouche sur laquelle la chatte de Dorothée vint se frotter maintes fois, et dans laquelle elle déversa sa mouille abondante dont je me délectai, mes seins, qu’ils me suçaient ou me pinçaient à tour de rôle ou ensemble, mon clito sur lequel ils passaient le bout de leur langue, qu’ils suçotaient parfois, le sillon mouillé de ma chatte qu’ils lapaient comme de petits chiens, mes fesses qu’ils pétrissaient, qu’ils écartaient, mon petit trou du cul qu’ils léchèrent souvent, et dans lequel ils enfonçaient parfois un doigt, voire deux… Je leur appartenais toute, et ils se servaient sans vergogne. Pour mon plus grand plaisir.
    
    Alors que Robert s’était endormi le premier, Dorothée me prit dans ses bras, me caressant les fesses, et me fouillant la bouche de sa langue… Elle continuait à me branler la chatte et je lui faisais de même. Nous nous endormîmes enfin, après avoir joui chacune encore deux ou trois fois. Au matin, je fus réveillée par les mouvements du lit : Robert était en train de pilonner vigoureusement une Dorothée les jambes passées autour de sa taille. Voyant que j’étais éveillée, Dorothée me dit :
    
    Mets-toi derrière, chienne, viens nous lécher, je sens qu’avec ta langue, on va jouir encore mieux…
    
    Je me mis entre les jambes de Robert. ...
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