1. Isa : l'objet d'un couple dominateur


    Datte: 28/04/2020, Catégories: fh, ffh, hagé, couple, fsoumise, noculotte, Oral fgode, double, fdanus, coprolalie, uro, sm, attache, Auteur: Isamon, Source: Revebebe

    ... sont passées dans mes mains, je les ai fait jouir. Pas de raison que ce soit différent pour toi. Tu vas voir : une langue de femme, c’est aussi bon que celle d’un mec !
    
    Elle se recula, et commença à me frapper avec le martinet, lentement, méthodiquement. Je fermais les yeux. Quand je les rouvris, je vis qu’en me fouettant de sa main droite, elle avait fourré sa main gauche entre ses cuisses et se caressait la chatte. Je vis dans son regard qu’elle prenait beaucoup de plaisir à me voir gigoter sur ma croix pour tenter, vainement d’ailleurs, d’éviter les coups. Puis, tout à coup, elle lâcha le martinet, et plaqua ses lèvres sur les miennes, fouillant ma bouche de sa langue, pendant que sa main tripotait ma chatte. Elle avait déjà planté deux doigts dans mon vagin et les faisait aller et venir. Elle me branlait sans ménagement, et j’aimais ce traitement un peu « sauvage ». Je le lui fis savoir avec ma langue, qui se frottait à la sienne à l’intérieur de ma bouche. C’était un baiser particulièrement violent, très passionné. Elle agissait tout à fait comme un homme. Elle sortit soudain ses deux doigts de ma chatte et les porta à son nez, puis à sa bouche :
    
    — Hum, tu sens très bon, ma cocotte, et ta mouille a vraiment très bon goût… Tout à l’heure, j’irai la boire directement à ta chatte…
    
    Elle avait replongé sa main dans mon con, l’avait retirée enduite à nouveau de ma mouille abondante, et m’enfonçait deux doigts dans la bouche :
    
    — Lèche ta mouille, ma salope… ...
    ... Lèche, ma petite chienne.
    
    Ensuite, elle me détacha, et à nouveau me « roula » une pelle phénoménale ! Elle jouait avec ma langue, et je commençais vraiment à adorer les baisers de femme ! Elle avait raison, avec une femme, tout était aussi bon qu’avec un homme… Je sentais qu’en quelques minutes, j’étais devenue la petite gouine que ce couple de vicieux souhaitait ! En m’embrassant fougueusement, elle avait replongé ses doigts dans ma chatte. Lorsque le baiser cessa, elle m’ordonna :
    
    — Tourne-toi, petite gouinasse… je n’ai pas encore vu ton petit cul…
    
    Elle se pencha sur mon derrière :
    
    — Cambre-toi bien… Ah, dis donc, tu as un superbe cul, ma gouinasse ! Je sens qu’on va se régaler, n’est-ce pas Robert ?
    
    Je lançai un regard vers le vieux cochon, et je m’aperçus qu’il se branlait frénétiquement : le spectacle de sa salope de femme en train de se farcir une petite nana comme moi semblait le mettre dans tous ses états !
    
    Dorothée était maintenant en train de m’écarter les deux fesses, et je sentais son souffle dans ma raie. Sa langue vint se poser sur mon petit trou, et tenta même de s’y introduire. Elle me lécha le cul pendant un moment, puis elle s’adressa à Robert.
    
    — Tu veux bien aller me chercher mes « outils », j’ai vraiment envie de baiser cette petite mignonne…
    
    Robert revint bientôt avec une sorte de « ceinture » un peu spéciale. En fait, c’était un godemiché double, avec d’un côté une grosse bite en latex, prolongée de l’autre par une deuxième qui me ...
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