Isa : l'objet d'un couple dominateur - Histoires de Sexe

Isa : l'objet d'un couple dominateur

... je ne tardai pas à être nue. Je n’avais en effet sur moi que mes chaussures, un pull léger, une jupette, et bien entendu mon soutien-gorge, que je quittai en dernier.

— Petits nénés, remarqua Robert, mais ils pointent bien… Tu bandes déjà des tétons ? Alors fais-moi voir si tu bandes aussi du clito… Ouvre ta chatte et montre…

J’obéis. Debout sur la table, j’écartai mes cuisses et ma chatte et mon clitounet pointa son nez… Le vieux cochon se jeta dessus et ne tarda pas à me le téter.

J’ondulais du bassin pour aller au-devant de sa bouche. Mais il passa vite à la suite du programme. Il ouvrit une armoire, et en sortit… un martinet. Je savais dès lors ce qui m’attendait. Il allait me fouetter. Les premiers coups s’abattirent sur mon postérieur, et je fis la grimace, car il avait frappé fort.

— Mets-toi à quatre pattes, chienne.

Il s’acharna alors sur moi, me fouettant les reins, le cul, et quelquefois mes seins qui pendaient sous moi. J’avais mal, mais je ne me dérobais pas. Dans ma tête, je jouissais déjà du plaisir d’être complètement soumise.

— Écarte ton cul. Ah, tu aimes ça, hein, exhiber ta chatte et ton cul, ma salope !
— Oui, j’aime ça.
— Tu voudrais bien qu’il y ait des voyeurs qui se branlent autour de toi, hein ?
— Oui, j’aimerais bien…

Je répétais sans rechigner tout ce qu’il me demandait de dire, car je savais que ça l’excitait. Sa queue était tendue à l’extrême, alors qu’il continuait à me fouetter. Ensuite, il m’emmena dans un autre coin ...

... de la pièce. J’aperçus alors une sorte de croix, fixée au mur, avec des menottes aux quatre extrémités. Je compris très vite leur utilité. En effet, il me fit écarter les jambes et m’attacha aux deux chevilles, puis fit la même chose pour mes bras tendus sur la partie supérieure de la croix. J’étais quasiment écartelée, complètement offerte et sans défense. Le vieux vicieux allait pouvoir user de moi à sa guise. J’en frissonnais, mais je savais que j’allais y trouver du plaisir.

Il recommença à me fouetter, mais cette fois sur les seins, le ventre, les cuisses. Il visait parfois directement ma chatte, et un coup mieux ajusté que les autres sur mes lèvres intimes me fit me tortiller davantage.

— Ouille… criai-je en tirant sur mes liens.
— Ta gueule, petite pute, tu es mon esclave, et tu vas subir tout ce que j’ai envie de te faire subir… Tu me plais comme ça, offerte. Tu es très désirable. Je vais te baiser après, lorsque tu seras bien prête, ma p’tite chienne ! Tiens, regarde là-bas, toi qui aimes les voyeurs…

Je regardai dans la direction qu’il m’indiquait : face à moi, à l’autre bout de la pièce, dans le salon où j’étais un instant avant, quelqu’un était venu s’asseoir, sans que je l’entende arriver. La pièce était un peu sombre, et je ne distinguais pas très bien la personne, mais je m’aperçus quand même très vite que c’était une femme : elle avait en effet deux gros seins, ce qui ne laissait donc pas de doute ! Elle était en train de se branler la chatte en nous ...