1. Isa : l'objet d'un couple dominateur


    Datte: 28/04/2020, Catégories: fh, ffh, hagé, couple, fsoumise, noculotte, Oral fgode, double, fdanus, coprolalie, uro, sm, attache, Auteur: Isamon, Source: Revebebe

    Nicolas m’avait donc laissée en compagnie de Robert, notre voyeur du bois, un vieux monsieur, ma foi, fort bel homme encore. Nous entrâmes donc dans sa maison, alors que le soir tombait. J’étais un peu anxieuse. Mon amoureux me livrait littéralement à un vieux pervers, et je ne savais pas ce qui m’attendait. Je sentais que ce vieux cochon ne me voulait pas de mal, bien au contraire : son œil vicelard m’indiquait qu’il se régalait par avance de pouvoir, dans quelques instants, se servir tout à sa guise de mon jeune corps. Et malgré moi, cette idée, tout en m’effrayant un peu, finissait par m’exciter. Je comprenais vraiment que la soumission me plaisait et qu’elle déclenchait en moi le désir.
    
    Quand Robert poussa la porte de sa maison, je sentais que je recommençais à mouiller. J’aurais sans doute trempé ma culotte si j’en avais eu une, mais Nicolas m’avait interdit de la remettre pour le retour, et j’étais donc fesses et chatte nues sous ma jupe ultra courte… Ras la touffe était bien le mot !
    
    — Entre, et va t’installer dans ce fauteuil, me dit Robert.
    
    La pièce était très grande : une salle de séjour de maison de campagne, avec une grande table en bois au milieu, deux bancs, et dans un coin une sorte de salon avec un divan et deux fauteuils installés devant la télé. C’est donc dans ce coin-salon que je me dirigeai, pour aller m’installer dans l’un des fauteuils comme me l’avait demandé Robert. Je m’assis, et je m’aperçus que Robert avait de nouveau sorti son sexe, et en ...
    ... s’avançant vers moi recommençait à se branler lentement. Il s’arrêta devant moi, sa bite à quelques centimètres de mon visage. Il la décalottait et la re-calottait lentement, sans rien dire. Je le regardais. Il fermait déjà les yeux pour savourer son plaisir. Je ne savais que faire.
    
    — Suce-moi la queue, ordonna-t-il soudain.
    
    J’engloutis son gros membre avec peine, et commençai à le sucer comme je l’avais déjà fait dans la voiture. Il paraît que j’étais une bonne suceuse. C’était inné chez moi, car je n’avais encore aucune expérience de cet exercice (contrairement à aujourd’hui…). Robert commença à bouger, enfonçant son sexe le plus profond possible, jusque dans ma gorge, en me tenant la tête. Il me baisait littéralement la bouche. J’étouffais presque, mais une fois encore, je jouissais du fait d’être « utilisée » comme un objet de plaisir. Je commençais à admettre que c’était là mon plaisir : être la proie consentante des hommes, livrée à leur perversité. En ayant conscience et en tirant mon plaisir, je l’assumais totalement, et n’en avais plus honte. Au bout d’un moment, Robert se retira de ma bouche, et m’annonça :
    
    — À partir de maintenant, tu es mon objet, tu vas faire tout ce que je te dirai, sans protester. N’aie aucune crainte, c’est pour mon plaisir… mais aussi pour le tien, car je sais que tu es une bonne vicieuse, Nicolas me l’a dit… Maintenant, monte debout sur cette table, et déshabille-toi complètement.
    
    J’escaladai donc la grande table de campagne, et ...
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