Isa : l'objet d'un couple dominateur - Histoires de Sexe

Isa : l'objet d'un couple dominateur

... regardant : moi écartelée sur la croix, et Robert me fouettant en me traitant de chienne ! Comme je ne l’avais pas entendue entrer et que Robert n’était pas surpris de sa présence, j’en déduisis qu’elle était la complice de mon « bourreau ». Je fus très surprise, car je pensais que les voyeurs potentiels devaient être des hommes… Mais une femme, je n’en revenais pas !

— C’est ma femme. Viens ici, ma chérie, que je te présente notre ravissante petite esclave…

La femme se leva, traversa, altière, la grande pièce et vint se planter devant la croix. Elle était comme moi, complètement nue. Robert fit les présentations :

— C’est Dorothée, ma tendre épouse. Une vraie cochonne, une grande gouinasse qui aime se farcir des petites vicieuses comme toi…

Encore un truc que je n’avais pas imaginé : que je pourrais être l’objet sexuel d’une lesbienne ! Là, vraiment, je n’avais encore jamais eu la moindre expérience dans ce domaine, même si jadis ma petite copine Lydie avait bien essayé deux ou trois fois de me tripoter les seins sous la douche, mais chaque fois, je l’avais repoussée en la traitant d’anormale ! Et voilà que, curieusement, l’idée de me livrer aux désirs pervers d’une vieille cochonne ne me rebutait pas ! Bien au contraire, je sentais que j’étais toute prête à me livrer aux mains de cette grande et fort belle femme. Même – et surtout – devant son vicieux de mari.

Dorothée était, ma foi, très belle, fort bien faite malgré son âge. Je pense qu’elle était quand ...

... même beaucoup plus jeune que Robert. Peut-être la cinquantaine. Une chevelure épaisse, frisottée de partout, blondasse, un beau visage, des yeux d’un bleu pur tout à fait étonnant, mais un regard aussi vicelard que celui de son mâle… Un regard qui me scrutait, allant de bas en haut et de haut en bas. Après un moment, elle émit ce jugement :

— Joli petit corps, très bandant, des seins tous petits, mais ça doit bien réagir sous la langue, ces petits tétons-là ! Un bien joli petit minou, j’ai déjà envie d’y mettre mes doigts, et ma langue ! Et comment s’appelle ce petit trésor ?
— C’est Isabelle. Elle te plaît comme esclave ?
— Je serais difficile ! Quel âge ? C’est majeur, au moins ?
— Mais bien sûr, elle vient juste d’avoir ses 18 ans, et c’est déjà une grande cochonne…
— J’espère bien. Tu peux nous laisser toutes les deux Robert ? Si tu veux, tu peux rester dans la pièce, je te jure que tu vas te régaler…

Robert, en effet, se retira… pas bien loin. Il avança une chaise près de la grande table, et s’installa, la main sur sa bite, prêt visiblement à se branler en regardant sa femme s’occuper de moi… Dorothée s’était à son tour saisie du martinet délaissé par Robert.

— Tu t’es déjà fait peloter par une femme ? me demanda-t-elle.
— Non madame… Jamais, je ne suis pas sûr que j’aime ça…
— On ne te demande pas ton avis ! Que tu aimes ou pas, je vais te gouiner à fond, ma p’tite coquine ! Mais de toute façon, je suis sûre que tu vas aimer. Jusqu’alors, toutes celles qui ...