1. Soif d'amour


    Datte: 28/04/2020, Catégories: fh, extracon, hotel, collection, intermast, Oral pénétratio, fdanus, nostalgie, consoler, extraconj, Auteur: Bleuet, Source: Revebebe

    ... table, elle va pouvoir vérifier ce que je vaux au lit.
    
    Ce paragraphe résume plus d’une heure de minauderies, de sous-entendus, de suggestions subtiles qui aboutissent à l’étage. Celle-là, j’ai décidé de me la payer et de lui faire ravaler ses moqueries sur mon manque d’appétit sexuel, cause de mon divorce. Galant, j’aide au déshabillage de cette chère, très chère Françoise. Ses dessous de marque ont-ils été choisis pour m’éblouir au cas où elle me mettrait le grappin dessus ? Ce n’est pas impossible, elle parade en soutien-gorge pigeonnant et en string débordé par des bourrelets affirmés. J’avais de l’acné, je m’intéresse à ses vergetures sur le ventre, les seins et les cuisses, je regarde avec insistance, je ne dis rien. Je sais, c’est bas. Je plaide les circonstances atténuantes. Il y a quinze ans, s’était-elle gênée pour pointer mon acné ?
    
    — Deux naissances et le manque de temps pour courir les instituts de beauté après les accouchements, tu comprends. Mais je vais me reprendre en main, pour toi, rien que pour toi, mon cher Jacques. Mon mari est une brute, il ne prête pas attention à mon corps. Toi tu as l’œil. Je sens que je vais t’aimer.
    — Mais tu es tout à fait désirable, ma chère. Tu l’étais déjà il y a bien longtemps.
    — J’étais sotte à l’époque. Mais j’ai mûri.
    
    Effectivement, c‘est trop visible. Je n’ai pas la cruauté de parler des traces physiques, des bourrelets disgracieux et autres peaux d’orange. Je caresse le corps offert, mains sur les hanches. ...
    ... J’apprécie la masse des seins lourds mais fermes, je dépose gentiment un baiser sur chaque aréole, ma langue gifle les tétons épais, mes lèvres les font gonfler. Mes mains redescendent sur les flancs, franchissent les hanches, saisissent la ficelle du string, le font descendre, lentement. Elle ne proteste pas, consent, curieuse de voir mes réactions. Le pubis se dégage, le string délaisse la fente où il se réfugiait et tombe. Je m’agenouille pour libérer les pieds. Devant moi pas un poil, juste des points noirs témoins du rasage. C’est un retour à l’enfance, à la période pré-pubère. Le bassin s’est élargi, présente une plage large, propre à un accueil confortable et dans le V du sexe, entre les cuisses lourdes, un I au corps irrégulier fuit de la proéminence du clitoris vers le sillon des fesses.
    
    J’envoie mes deux mains par l’extérieur accrocher l’arrière des deux colonnes et, sans permission, je vais embrasser le haut de la fente. Mon mouvement a surpris la femme en attente. Son pied droit a reculé, a élargi l’accès au sexe, ma langue et mes lèvres ont suivi à la conquête de la vulve au parfum aigrelet et agréable.
    
    — Ô, toi, oui, ouii !
    
    J’insiste, elle cède le passage. Je lèche, je laisse courir ma langue, la pointe s’immisce entre les grandes lèvres. Elles accumulent du sang, gonflent, laissent apparaître les petites lèvres collées. L’attaque fait reculer Françoise, ses cuisses écrasent mes doigts contre le matelas, elle part en arrière, des deux mains amortit sa chute ...
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