1. Soif d'amour


    Datte: 28/04/2020, Catégories: fh, extracon, hotel, collection, intermast, Oral pénétratio, fdanus, nostalgie, consoler, extraconj, Auteur: Bleuet, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :Sabine a séduit René, son voisin et collègue de travail, mari de Julie et père du bébé Margaux. Par hasard, Jacques, le mari les surprend. Le DRH, avec lequel Sabine pratique la promotion canapé, veut envoyer les deux collègues en stage. Le mari apprend de Judith, épouse du DRH l’inconduite de Sabine. Le double cocu décide de se séparer de l’infidèle. René hésitait à aller en stage : le mari l’oblige à rester l’amant de Sabine. Il accumule ainsi les preuves qui faciliteront son divorce. Tenté par Julie, qui n’obtient de son mari, épuisé par Sabine, que peu d‘amour, Jacques, l’infortuné cocu, résiste, mais se rapproche de Judith, la femme bafouée du DRH, en instance de divorce. Ils auront le même avocat : Georges. Hélas Judith épouse Georges, avocat gay. Sabine relance son ex-mari et trompe avec lui Sébastien qu’elle compte épouser. Judith quitte Georges et s’installe chez Jacques : ils projettent de vivre ensemble et deviennent enfin amants.
    
    Luc, l’amant caché mais très jaloux de Georges, a facilité le divorce de l’avocat et de Judith. Dès le jugement nous pourrons convoler. En attendant, nous sommes amants. Judith a insisté pour que j’accepte par testament devant notaire d’hériter de tous ses biens. Ma situation professionnelle me met à l’aise, je ne voyais pas l’utilité de ce testament avant un contrat de mariage. Elle a tenu absolument à me donner ce gage d’amour. Pourtant depuis que nous avons emménagé ensemble, des gages d’amour, ...
    ... elle m’en a donnés au lit. Une créature aussi frêle, aussi délicate physiquement et moralement a complètement renversé mon a priori sur les relations amoureuses.
    
    Sabine m’avait habitué à des turbulences, à des excès, à des nuits agitées. Son tempérament, surtout dans les premières années, m’avait appris à devenir ardent et endurant. Depuis notre divorce, elle m’était revenue pour quelques parties de jambes en l’air d’anthologie, malgré son remariage avec Sébastien.
    
    Quand Sébastien était défaillant ou quand elle avait le blues, elle débarquait, me flattait, me disait que j’étais unique et exigeait de rafraîchir ses souvenirs. C’était « un coup » comme disent les buveurs de comptoir. Sa fougue amoureuse m’avait consolé de la défection de Judith. Divorcé, je n’avais plus de raisons de me montrer jaloux : tout ce qu’elle m’offrait désormais était don gratuit, sans obligation. J’étais célibataire et amant, c’était une situation plus enviable que marié et cocu.
    
    Pendant ce court intermède et les trois ou quatre premiers mois de sa grossesse, nous nous sommes conduits, lors de nos rencontres, comme des jeunes mariés. Sabine avait des coquetteries de pucelle, jouait à la prude, refusait de montrer son minou, faisait la scandalisée quand j’envoyais une main dans son entrejambe en feu, poussait des cris d’orfraie si j’introduisais un doigt, criait au viol lorsque ma verge franchissait ses lèvres gonflées d’envie puis s’accrochait à mes épaules, soulevait son ventre en feu et me ...
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