La quête du sein gras
Datte: 27/04/2020,
Catégories:
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nonéro,
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Auteur: Fredelatorsion, Source: Revebebe
... qu’elle doive être fine, on ne peut pas faire de miracle. Mais si une femme plutôt forte a encore la taille marquée et les hanches dessinées, elle sauve tranquillement les meubles.
Le ventre peut être avantageux, certes, couvert, bombé, potelé, confortable, rembourré, douillet, velouté, replet, mais pas davantage. Une panse ne saurait plaire, en revanche, un ventre galbé par un garnissage tendre et moelleux peut être absolument ravissant et délicieux à caresser, à bisouiller, à gentiment et langoureusement masser, à mordiller. S’ils avaient encore voix au chapitre, ce ne sont pas Giorgione ou Ingres qui diraient le contraire. Allez donc voir le « Concert champêtre » et « Le bain turc » !
Quand on en vient, pour un motif ou un autre, à exploiter des ressources érotiques qui sortent de l’ordinaire, cette partie stratégique du corps féminin peut d’ailleurs justifier de traitements plus sévères actuellement très à la mode, justement parce qu’au contraire du cul, elle est particulièrement délicate, sensible et vulnérable. Entendons-nous bien, il est exclu de malmener en quelque manière le ventre des femmes, mais par exemple, quitte à faire endurer le martinet à une partenaire complaisante, pourquoi ne pas le solliciter, histoire de changer de cible ?
Pour Wilfried, il ne saurait être question d’infliger une souffrance vraie. Il adore jouer avec le corps des femmes ; jouer, au sens propre. En l’occurrence certaines sont demeurées totalement imperméables à ses fantaisies, ...
... d’autres se sont révélées assez joueuses et une fois mises en confiance, ont laissé à peu près libre cours à ses lubies, vestimentaires ou autres. Il comprend très bien qu’on ne puisse l’inviter à une « réunion sextoys », car ces dames seraient paralysées par sa présence. Mais comme il aimerait être une petite souris au moment du test des crèmes clitoridiennes, histoire de voir la tête que font certaines…
Il aurait tout à fait compris que l’une d’elles, un beau jour, lui demande la réciproque, mais aucune, jamais, n’a exprimé le désir de s’amuser avec son corps masculin. Curieux ! Ça ne marche que dans un sens… En revanche Wilfried n’a jamais eu et n’a toujours aucun goût pour la douleur en soi et la souffrance du corps, ni pour lui-même, ni pour autrui. Il ne saurait prendre aucune initiative hors du désir, de la complicité charnelle et de la tendresse partagée.
La situation se compliqua pourtant un jour, lorsqu’une jeune fille belle et saine demanda explicitement à Wilfried de la frapper et pas pour rire. Cela ne se produisit qu’avec elle, mais elle le lui demanda sans détour, comme ça, à brûle-pourpoint. Pas tout de suite à vrai dire ; elle attendit qu’ils fussent en confiance. À moins qu’elle ait patienté en attendant qu’il comprenne tout seul ? Ou alors voulait-elle s’assurer qu’il n’était pas pour autant homme à la massacrer de coups ? Car sa demande aurait pu passer pour osée, compte tenu du gabarit de Wilfried et de sa force physique.
À l’époque il n’était pas ...