La dernière occasion
Datte: 27/04/2020,
Catégories:
fh,
profélève,
Auteur: Guillaume1926, Source: Revebebe
... zones de sa langue, de ses dents, elle faisait de même. Nos deux corps se sont rapprochés, serrés par nos bras dans une intense étreinte. Elle devait sentir contre son ventre mon sexe dur comme de la pierre. Sa poitrine tendue contre mon corps me transportait de plaisir.
Notre baiser dura plusieurs minutes, notre excitation ne faisait qu’augmenter. Je sentais la respiration de Françoise de plus en plus courte et bruyante, elle appliquait une pression régulière de son sexe contre mon sexe, en se mettant sur la pointe des pieds. Mes mains étaient passées sous son tee-shirt, et je caressais son dos d’où commençaient à perler des gouttes de sueur.
Elle me dit un truc du genre «Qu’est-ce qu’on fait, on est fous !» puis a replongé sa langue dans ma bouche. Puis elle fit l’incroyable, prit la décision ultime. Je sentis ses mains descendre le long de mon ventre et venir caresser mon sexe à travers mon pantalon. Ce manège ne dura que le temps de trouver la boucle de ma ceinture. Elle fit circuler la bande de cuir dans l’anneau, et libéra ainsi la boucle, laissant le champ libre jusqu’au premier bouton de mon pantalon. Lorsqu’elle le fit sauter, elle écarta légèrement son visage du mien, me regarda un court instant, sourit légèrement et me dit :
— J’en ai envie.
— Moi aussi, lui répondis-je.
Il fallait faire vite, le cours de piano de ses enfants ne durant que trente minutes, il ne nous restait guère qu’une dizaine de minutes.
Mon pantalon tomba à mes pieds, suivi du ...
... sien. Nos lèvres ne se quittaient plus, nos baisers étaient si violents que nos langues passaient souvent caresser l’extérieur de nos bouches.
Je baissai sa petite culotte et posai ma main sur son sexe détrempé. Le sexe de Françoise, sans être épilé, était largement rasé, et le dessin de ses grosses lèvres ouvertes était excitant. J’avais une folle envie de descendre lécher ce sexe dont je pouvais déjà sentir les vapeurs divines, mais Françoise empoignait déjà mon sexe à pleine main. Après quelques mouvements de masturbation, pour bien décalotter mon gland, elle approcha ma queue de sa fente et me plaça devant l’orifice de son vagin. Après qu’elle m’eût dit prendre la pilule, je n’eus plus qu’à pousser lentement mon sexe à l’intérieur de cette femme que je désirais depuis si longtemps. Mon plaisir fut énorme et, arrivé au fond d’elle, je stoppai tout mouvement et savourai cet instant de bonheur. Ce fut de courte durée car elle me sollicitait violemment, tant elle était proche de l’orgasme (moi aussi d’ailleurs !). Son sexe était lisse et chaud, abondamment lubrifié, elle me dictait le tempo en me serrant par la taille. À chaque allée et venue, elle gémissait doucement dans l’aigu, sans faire trop de bruit. À l’oreille elle me glissa :
— je vais jouir, viens toi aussi
Ces paroles m’ont porté moi aussi vers la jouissance et, après quelques va-et-vient endiablés, je déversais un flot de sperme chaud au fond de sa matrice, tandis que des spasmes la secouaient, signe de son ...