Leçons particulières
Datte: 26/04/2020,
Catégories:
fh,
Oral
initfh,
Auteur: Clubescargot, Source: Revebebe
... le plaisir que certaines personnes trouvent dans la réalisation des tâches ménagères ; l’extase du repassage et la jouissance du récurage me sont parfaitement inconnues…
Donc, c’est quelque chose que je n’ai jamais vraiment aimé prodiguer… toujours à la demande du garçon. Toujours pour lui faire plaisir. Parfois même avec de la réticence ou des images de femmes soumises qui me venaient à l’esprit, que je chassais en me persuadant que j’avais le pouvoir de prodiguer ce plaisir.
Un souvenir affleure… Un pote, si l’on peut dire, un peu plus jeune que moi, bien bâti, avec qui j’avais eu l’occasion de trinquer du nombril. Oui, si je me souviens bien, il atteignait sans peine ma paroi pharyngée. Avec lui, je n’avais ni crainte ni dégoût, et peut-être même un peu de plaisir. Comme si ça coulait de source.
Le soir même, je tentai une gâterie (ou une pipe, ou un gros câlin, appelez ça comme vous voudrez) avec Gaby en fermant les yeux et en pensant très fort à l’autre. Nouvel échec.
Pourtant un pénis c’est un pénis, enfin je veux dire, anatomiquement c’est pareil. Là où l’un passe les amygdales sans difficulté, l’autre devrait passer aussi, non ? Pourquoi tout serait possible avec un gars que connais à peine et pas avec celui que j’aime ?
Il faut que j’en aie le cœur net. Pour le bien de mon couple !
**********
Mon prof particulier me relève, attrape une chaise, s’assied et m’attire à lui. Superbe contre-plongée ! Je retente une approche de son visage : nouvel ...
... échec, mais j’ai droit à un petit baiser dans le cou au passage. Je m’agenouille et reprends mon entreprise, plus concentrée que jamais. C’est plus commode que debout. Je réalise que c’est la première fois que je le fais dans cette position. J’ai l’impression d’avoir un meilleur contrôle du mouvement quand il passe ma gorge. Et pas de haut-le-cœur. Mes mains partent en balade : remontent le t-shirt, découvrant le ventre, puis se glissent sous le tissu, parcourant sa poitrine, redescendent vers les cuisses et les parties intimes. Dans cette pénombre et à moitié habillés (ou à moitié nus, selon) je ne profite pas trop de la vue de son corps. Il guide ma tête de temps en temps quand je ne suis pas bien dans l’axe, ou bien pour que j’accélère un peu, sinon il me laisse libre de mes mouvements. Ses gémissements m’encouragent. Les veines de son sexe tressaillent. Là, j’ai envie qu’il me prenne, mais je n’y crois pas trop. Je me ressaisis, je ne suis pas là pour mon seul plaisir. Il est doux et doué, mais il ne m’aime pas, il n’est pas mon amoureux. Je suis là pour progresser. Donc si j’arrive à le faire jouir rien qu’avec ma bouche, ça serait une grande première et une grande victoire !
Un bandage sur son poignet droit attire mon œil.
— Qu’est-ce que tu t’es fait ?
— Rien
Je vois bien que ce n’est pas rien… et qu’il n’en dira rien. Je sais bien que notre relation n’est pas celle d’un couple qui fait des projets et qui partage ses soucis, qu’on est juste là pour se faire du ...