Leçons particulières - Histoires de Sexe

Leçons particulières

... embrasser son cou, puis sa barbe naissante. Pour toute réponse il pose ses mains sur ma tête et la repousse fermement vers le bas.

Message reçu.

Je déboutonne le jean de monsieur (tiens, ça existe encore les jeans à boutons ?), baisse son caleçon et commence à engloutir son pénis. Je peine à trouver un rythme, à coordonner ma respiration, et je ne suis pas sûre que ça soit très plaisant pour lui.

C’est bien pour ça que je suis là.

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Quelques jours plus tôt :

— Vous avez des amygdales hypertrophiées, c’est la conséquence de pharyngites à répétition dans votre enfance. Autrement dit, des angines.
— Et ça s’opère, Docteur ?
— Oui, mais seulement si vous souffrez d’apnées du sommeil, ce n’est pas votre cas ?
— Non… mais l’opération, ça évite les infections ?
— Effectivement, mais l’amygdalectomie n’est prescrite qu’à partir de cinq épisodes infectieux par an. Et d’après votre dossier, vous n’en avez eu que quatre l’année dernière.
— Zut… Et si je vous dis que j’ai eu des angines sans venir consulter ?
— Non, je suis désolé, ça ne fonctionne pas comme ça. Il vous fallait autre chose ?
— Non, c’est bon. Merci docteur.

De retour chez moi, j’attrape la lampe de poche près du tableau électrique et me poste devant le grand miroir. Voyons voir… Au fond de ma bouche, je distingue la paroi pharyngée, et devant la luette, encadrée par deux grosses masses rouges collées à mes piliers postérieurs. C’est donc ça qui gêne le passage ? C’est mal foutu. Me ...

... voilà bien avancée.

Gaby, mon amour, un gars gentil, adorable, drôle, romantique, tendre… Il m’aime et je l’aime. Je le désire. Il me donne du plaisir. Cependant… il y a certaines choses que je n’arrive pas à faire avec lui. C’est bizarre, pourtant je devrais pouvoir y arriver. En l’occurrence, je n’arrive pas à lui prodiguer une gâterie qui le satisfasse. Impossible d’enfoncer son sexe jusqu’au fond de ma bouche. Ça le frustre et ça m’énerve. Et plus ça m’énerve, moins ça marche. J’ai bien essayé de changer de position, d’angle, rien à faire. Quand il cherche à bouger de lui-même, c’est le pire : ça me file un de ces haut-le-cœur et ma gorge se contracte jusqu’à la douleur.

Mon chéri en a rajouté une couche en me disant qu’il ne sentait pas grand-chose et qu’il fallait que je m’instruise en regardant des pornos. Ou comment me rendre honteuse, vexée et culpabilisée. Quel couillon !

Les pornos… J’en ai vu par curiosité. À part quelques images qui peuvent éventuellement nourrir ma fantasmagorie quand je me masturbe, je n’y vois aucune source d’instruction. La plupart du temps je trouve même ça même laid, tout cet étalage de chair sans une once d’érotisme. J’ai alors parcouru des articles sur la sexualité, dispensant des conseils pour être la meilleure suceuse. Aucun ne m’a donné la révélation attendue.

Comment font-elles, ces filles qui y arrivent ? Ont-elles un secret ? Une anatomie particulière ? Ou une appétence à ça ? C’est pour moi tout aussi incompréhensible que ...