Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée (1)
Datte: 26/04/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... culotte.
— Tu veux bien, chérie ?
Ses mains la tirent vers le bas... Elle veut me la retirer. Je me sens dans un drôle d’état, pour tout dire, proche de l’excitation. Je lui dis en souriant :
— Fais-le, ça me plaît aussi !
La culotte glisse sur mes chevilles et je la ramasse. Božena s’en amuse :
— De toute façon, nous l’avons vue quand tu étais assise à ton bureau. Sans compter que Jaroslav l’a prise en photo, ce coquin ! Il t’a repérée et va certainement tourner autour de toi jusqu’à ce que... pas besoin de t’en dire plus, hein ?
Maintenant, elle me caresse les cuisses, puis ses mains repassant sous ma minijupe, elle me caresse le bas-ventre, puis ses doigts effleurent ma vulve.
— Caresse-moi aussi ! J’en ai envie !
Les doigts de Božena titillent les lèvres de ma vulve, puis sans prévenir, elle glisse un doigt entre elles. Je tressaille tandis que mes mains se glissent sous sa robe, caressant ses fesses. Puis je m’enhardis en passant mes doigts sur l’entrejambe, devinant la forme de sa vulve à travers sa culotte. Elle se met à respirer plus fort.
Des ...
... bruits, puis des voix. Au fond de l’, nous voyons apparaître un petit groupe. Il est à une cinquantaine de mètres de nous. Nous rectifions notre tenue, ma culotte va dans mon petit sac que j’avais posé sur le sol. Nous regagnons la sortie, main dans la main, l’air complice. 15 h est à peine passée quand nous regagnons la voiture. Dix minutes après, nous entrons dans le bourg où j’habite.
Je suggère à Božena de se garer près de la station de bus située à 500 mètres de la maison.
— On s’embrasse ?
Je sais le genre de baiser qu’elle désire. Il ne faudrait pas qu’on nous voit... Nous attendons quelques minutes le temps qu’un autobus démarre et que les voyageurs se dispersent. Je sens la langue chaude de Božena envahir ma bouche, tandis que sa main gauche se glisse entre mes cuisses que j’ouvre, abandonnant mon nid d’amour à ses doigts impatients. Je commence à gémir sous ses caresses. Puis elle s’interrompt, se redresse, s’arrange un peu :
— J’aurais tant aimé te faire jouir....
Puis, alors que je descends de la voiture :
— J’ai très envie de toi, tu sais !
A suivre...