Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée (1)
Datte: 26/04/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... dit-elle avec ferveur pour expliquer son geste. Sans doute, mais elle tient ma main bien serrée. Et comme je ne voudrais pas la blesser en gardant ma main molle, je serre la sienne à mon tour.
Mon geste paraît l’avoir émue. Elle me regarde :
— Tu es vraiment gentille, Eva. Je peux dire que tu m’as plu dès que je t’ai vue. Je ressens quelque chose pour toi !
Je suis éberluée. Si je m’attendais à ça ! Ma directrice me fait ce qui ressemble fort à une déclaration d’amour ! Elle parait secouée par son propre aveu si bien que je la retrouve contre moi, la tête posée sur mon épaule.
— C’est difficile à expliquer, mais je ressens une attirance sexuelle pour toi. Tu ne le sais sans doute pas mais je suis lesbienne. Et j’ai dû cacher mon état en me mariant avec un homme et en ayant une fille avec lui. Toi, je ne pense pas que tu le sois mais j’ai l’intuition que tu es bisexuelle. Mon désir est de pouvoir être ce que je suis, le temps d’une année scolaire. Rattraper le temps perdu, essayer de réaliser mes fantasmes. Coquine comme tu dois l’être, tu ferais une superbe partenaire !
Je reste un moment silencieuse, puis :
— Božena, nous avons dix-neuf ans d’écart...
— Douze, avec l’âge de mon corps ! s’empresse-t-elle de rectifier.
Je reprends :
— Cet été, j’ai eu quelques aventures avec des filles et une jeune femme. Une expérience... je ne sais pas si je suis bisexuelle mais j’ai trouvé cela vraiment... excitant. Božena, j’accepte d’être ta partenaire ...
... mais avec ta position, il faudra faire attention. Avec tout ce que tu désires faire avec moi, nos rencontres devront être soigneusement préparées, n’est-ce pas ?
Elle relève la tête :
— J’en suis consciente, tu sais. En échange, je tâcherais de couvrir tes frasques... sexuelles. Une dévergondée comme toi !
Elle sourit.
Puis nous reprenons notre promenade en tournant à droite pour l’allée qui longe le mur et aussi bordée d’arbres. En ce début d’après-midi de semaine, le parc est désert. Dans un geste spontané, je surprends agréablement Božena en l’enlaçant. Et nous allons ainsi jusqu’au bout de l’allée du mur.
— Quelle heure est-il ? me souffle-t-elle comme si elle craignait d’être entendue.
— 14 h 30... nous avons un peu de temps. Si je rentre à 15 h ou même 15 h 30, c’est suffisant.
Puis comme si elle ne pouvait plus attendre, elle m’embrasse, d’abord tendrement, puis avec fougue. Je laisse sa langue envahir ma bouche. Elle se serre contre moi. Notre baiser est interminable. Puis elle s’écarte de moi pour me dire :
— Depuis le temps, j’en mourrais d’envie !
Avant un second baiser, où nos langues se mêlent :
— J’adore ta façon d’embrasser ! chuchote-t-elle.
Je sens ses mains caresser mon dos, mes hanches, mes fesses, avant de s’arrêter à la lisière de ma minijupe :
— Tu aimes, n’est-ce pas ? nous sommes là, les yeux dans les yeux, tandis que ses mains se faufilent sous ma jupe.
— J’en avais tant envie !
Je sens ses mains sur ma ...