Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée (1)
Datte: 26/04/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: megalosex, Source: Xstory
Avertissement :
En commençant ma saga en août 2017, j’avais envisagé de concentrer les récits uniquement sur la période des vacances d’été. Mais, maintenant qu’Eva entame sa carrière d’institutrice, il était intéressant de rajouter un tome, couvrant l’année scolaire 1973/1974, dont Bob serait évidemment absent. Ce tome fera le pont entre les étés 73 et 74 (5 ou 6 chapitres, voire un peu plus si l’inspiration est au rendez-vous).
Après des vacances riches en expériences sexuelles, c’est une Eva dévergondée qui se rend à une convocation de la direction de son école, la veille de la prérentrée des enseignants.
000000000000000
Lundi 28 août. Je m’apprête à me rendre à la convocation de l’école. Comme il fait assez chaud, je n’ai pas hésité à mettre la minijupe de toile kaki qui me plaît tant bien que je l’ai depuis quatre ans. Vraiment courte et de surcroît, un peu moulante, elle couvre à peine plus du tiers des cuisses quand je suis debout. Au-dessus, je porte un chemisier de coton, jaune à manches courtes, légèrement moulant. Sexy, juste ce qu’il faut pour charmer.
Après un trajet de 15 minutes en bus, j’arrive à l’école vers 10 h. Je me rends au bureau où je suis reçue par une femme d’une quarantaine d’années, la directrice. Je n’aurai donc pas à faire mon numéro de charme. L’entretien dure environ trois quarts d’heure, le temps des formalités et d’un petit entretien sur le fonctionnement de l’établissement. Puis je prends congé tandis qu’elle me donne ...
... rendez-vous pour la prérentrée demain, mardi à 8 h.
Alors que je me dirige vers la sortie, je suis interpellée :
— S’il vous plaît, Mademoiselle ! Vous pouvez attendre un petit moment ?
Je me retourne. C’est la directrice qui vient à ma rencontre.
— Vous avez oublié de me dire quelque chose ?
Elle observe ma tenue. Je m’attends à un petit sermon.
— Mademoiselle, je sais bien que la mode est à la minijupe, mais la vôtre est à la limite de la décence. Quand vous étiez assise...
Elle sourit avant de reprendre : « Remarquez que je ne vous oblige à rien ; vous vous habillez comme vous voulez puisqu’il n’y a pas de règlement à ce sujet. Mais comme vous allez faire la classe à des enfants de huit ans, une jupe ou une robe plus longue serait préférable ! »
Et comme visiblement, je fais la moue, elle me suggère, amusée :
— Si ça vous gêne tant que ça, amenez une blouse à la bonne longueur que vous mettrez avant d’entrer en classe !
Je la remercie puis nous nous séparons. Il est 11 h pile.
Assise dans le bus, je souris en regardant ma minijupe. Ainsi retroussée sur mes cuisses, c’est effectivement àla limite de la décence. Aussi, quand un voyageur monte à l’arrêt suivant, les mate, je suis tentée de lui lancer :« Alors, je t’excite avec ma tenue indécente ? »
Rentrée à la maison vers 11 h 40, je me change puis réchauffe mon repas. Après le déjeuner, je vais me reposer. Jana et mes parents reviennent du travail peu après 14 h. Après un moment de repos, mes ...