La chaude Mylène - Histoires de Sexe

La chaude Mylène

... Et bien, il y a une heure encore nous ne nous connaissions pas… Et là, vous me faites jouir de belle manière. Vous au moins, vous savez rompre la glace !

Elle marqua un temps d’arrêt et éclata de rire.

— Oh ! Excusez-moi, je ne voulais pas vous rappeler de mauvais souvenirs, réussit-elle à articuler.
— Petite insolente, vous vous moquez de moi !

Elle attendit que son rire soit calmé.

— Non, je ne me moque pas… je ne voudrais pas que nous nous quittions en froid !

Et à nouveau elle éclata de rire.

Je la serrais contre moi, secoué aussi par un fou rire.

— Oh merde ! Je vous ai fait mal. Votre bras est tout marqué à cause de moi, dit-elle en massant l’endroit où elle s’était cramponnée.
— Ce n’est rien, ça passera ! La rassurais-je en caressant à nouveau la fourche de ses cuisses.
— Bon, maintenant que vous m’avez masturbée et dégustée ma liqueur de fille, si on faisait les présentations ?
— Moi c’est Marcus. Et vous ?

Je me mis à la peloter fébrilement, impatient de la baiser. Elle s’assit sur le lave-linge, se pencha en arrière et me tira vers elle, entre ses jambes.

— Je m’appelle Mylène et je vous invite à venir jouir au fond de moi.

Je la saisis aux hanches et me glissai lentement au fond de son vagin brûlant de désir. Un long soupir de bien-être accompagna la progression de mon pénis dans son étroit foureau.

— Hooow ! Quel calibre ! Oui, comme ça ! Plus vite ! Hmmmm ! C’est bon ! Oh oui, comme vous me ramonez bien ! Je mouille ! Oui, je ...

... dégouline ! Plus fort ! Plus vite ! Je vais jouir ! Houa ! Elle est grosse ! Je vais venir !

Je ralentis et donnai une plus grande amplitude à mes coups de reins. Son vagin gorgé de nectar clapotait et, de temps à autre, émettait une sorte de grognement humide. La belle Mylène eut un nouvel orgasme qui la fit crier. Ma queue et mon pubis reçurent une quantité impressionnante d’une cyprine chaude et épaisse.

Je me retirais vivement et, avec un râle sauvage, je l’éclaboussai de ma jouissance, pour replonger en elle aussitôt après le dernier jet.

— Et ben, heureusement que ce lave-linge est solide ! Gloussa-t-elle en s’étirant comme une chatte.

A ce moment-là, je regrettai que la salle de bain soit plongée dans le noir. J’aurais aimé contempler cette jolie blonde nue au bout de ma queue, sa peau perlée de mon sperme.

— Pardon, je vous ai éclaboussé… Je ne savais pas si…
— Si si, je prends la pilule. Vous m’avez arrosé d’une sacrée dose ! Savez-vous ce que je fais ? Je suis en train de tartiner votre abondante semence sur mon ventre et mes seins.
— Et là, vous sucez vos doigts, ajoutai-je en entendant le bruit caractéristique.
— Ouais, j’en ai plein les mains ! Bravo ! Vous progressez rapidement !

Mon sexe toujours planté au fond de son ventre, je remontai les mains vers ses seins pour y étaler mon foutre à sa place.

— J’adore vos seins, ils sont bien ronds et fermes. Ah, vous avez aussi un joli nombril, commentai-je en m’étonnant de la quantité de sperme ...