1. La chaude Mylène


    Datte: 20/04/2020, Catégories: fh, inconnu, handicap, fdomine, intermast, facial, Oral pénétratio, Auteur: Jean-Marc Manenti, Source: Revebebe

    ... robe de chambre au sol pour me retrouver nu comme un ver.
    
    Nous nous retrouvâmes à nouveau au lit, l’un contre l’autre à nous embrasser à bouche que veux-tu. Elle m’imposait le noir le plus complet, mais je ne protestai pas. Nous nous suçâmes mutuellement la langue en nous caressant avec volupté.
    
    Puis, par un accord tacite, je me couchai sur elle. Mylène écarta les cuisses et cambra le bassin pour que je la pénètre au plus profond. Par de violents coups de ses reins, elle m’incita à la besogner brutalement. Elle poussait de petits cris de plaisir, puis un orgasme soudain lui arracha un long soupir. Un flot de mouille enduit mon pénis et son vagin se mit à clapoter. Je ne tardai pas à jouir à mon tour. Je m’arrangeai pour éjaculer sur les draps, à côté d’elle.
    
    — Ben mon salaud, t’en a foutu plein le lit ! S’écria-t-elle
    — Désolé Mylène, mais j’ai trop envie de te bouffer la craquette.
    
    Ce dimanche après-midi fut des plus paradisiaques, mais aussi l’un des plus épuisants de ma courte vie. Je pris un plaisir fou à lui donner orgasme sur orgasme avec ma langue, mes doigts, ma queue. Pour ma part, je jouis deux fois dans sa bouche et, avant de me rhabiller pour partir, nous fîmes une dernière fois l’amour, avec plus de tendresse cette fois que de bestialité et j’éjaculai au fond de son magnifique corps… Corps que je n’avais encore pas admiré de mes yeux.
    
    Et voilà, j’avais le manteau sur ...
    ... le dos et Mylène se tenait debout, face à moi, toute nue sous sa robe de chambre. Il fallait que je me retienne à cinquante milles mains pour ne pas lui arracher son fin vêtement et la prendre contre le mur du couloir.
    
    — Tiens, voici mes coordonnées, lui dis-je en lui donnant un bristol.
    — Merci, je me les ferai dicter par Leslie.
    — Leslie ? Qui est Leslie ? M’enquis-je, curieux.
    — C’est une copine de fac, c’est elle qui me rase le pubis. Et avant que tu te tortures l’esprit inutilement, je réponds oui à ta question. Oui, elle est amoureuse de moi et pour la remercier, je l’autorise à passer une ou deux nuits par mois dans mon lit.
    — Tu me téléphoneras ? Veux-tu qu’on se revoit à nouveau ? Lui demandai-je, très fébrile intérieurement.
    
    Elle eut un petit sourire malicieux en agitant le rectangle de carton devant mon nez.
    
    — Qui sait ? Nous verrons bien.
    
    Mon estomac se contracta. J’aurais tant voulu qu’elle se jette dans mes bras en pleurnichant. C’est moi qui l’enlaçai et déposai un bref baiser sur sa bouche.
    
    Elle me rendit un baiser plus appuyé, en passant la pointe de sa langue entre mes lèvres.
    
    — Fais gaffe, les trottoirs sont pleins d’embûches.
    
    Je quittais donc à regret son appartement et me fondis dans la nuit hivernale. La neige gelée craquait sous mes pas, de la buée sortait de ma bouche. Je rêvai déjà de la sonnerie de mon téléphone qui, d’habitude, m’agace tant.
    
    FIN 
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