1. La chaude Mylène


    Datte: 20/04/2020, Catégories: fh, inconnu, handicap, fdomine, intermast, facial, Oral pénétratio, Auteur: Jean-Marc Manenti, Source: Revebebe

    ... vous constaterez que les personnes non-voyantes n’ont pas forcément un physique ingrat.
    — Désolé… Je ne voulais pas dire ça… Donc, vous êtes jolie, point barre.
    — Et c’est pour ça que vous bandez ? Ajouta-t-elle avec un sourire ironique.
    
    Interloqué, je restai muet deux ou trois secondes. C’est vrai, j’avais une belle érection.
    
    — Mais… Comment… Comment le savez-vous ?
    — Vous êtes en train d’essuyer votre bas-ventre et chaque fois que votre pénis s’échappe de la serviette, il cogne contre votre ventre, je l’entends. Bigre, il doit être bien dur ! A mon avis, vous ne regardiez pas que ma petite gueule…
    
    Disant cela, elle s’avança vers moi, mains devant, le sourire triomphant de celle qui a marqué un point. Ses doigts parcoururent lentement mon visage mes
    
    épaules et mon torse.
    
    — Pas mal tout ça ! Commenta mon hôtesse qui n’eut pas encore l’audace de se saisir de ma queue.
    
    Elle stoppa ses investigations au nombril.
    
    Son inspection terminée, elle recula d’un petit pas et me demanda :
    
    — Pourquoi avez-vous la trique ? Allez, dites-le !
    — Euh ! C’est-à-dire… Je suis nu devant vous… J’imagine ce qu’il y a sous votre pull moulant…
    — Ah ah ! Et ça vous donne des idées ! Donc, vous avez envie de moi ? Insista la jeune femme toujours ironique, pour me mettre mal à l’aise.
    — À quoi bon le nier, oui, j’ai envie de baiser avec vous, soufflai-je, intimidé et gêné.
    
    A tâtons, elle chercha l’interrupteur et coupa la lumière.
    
    — Voilà, nous sommes à égalité !
    — ...
    ... Pas tout à fait, il y a la lumière rouge du témoin lumineux du lave-linge, rétorquai-je.
    
    Il y eu un froufroutement, un léger courant d’air et son pull-over échoua sur la machine, cachant ainsi le témoin lumineux. Dans une nuit totale, il y eu de nouveaux bruits de tissu froissé, un crissement de fermeture éclair, des raclements de pieds.
    
    — Et hop ! Je dégrafe mon sous-tif. Et hop ! Tenez, voici ma petite culotte, gloussa la pétulante blonde.
    
    Les deux sous-vêtements échouèrent dans mes bras. Ils étaient tièdes, tièdes du corps de ma magnifique blonde. J’étais gêné par la totale obscurité, j’ouvris grand mes oreilles.
    
    — Voilà, je suis à poil ! Allez, examinez-moi, minauda la jeune femme.
    — Mais… Si je vous touche… Je ne suis pas sûr de…
    — Allons, taisez-vous un peu et venez vers moi, dit-elle tout bas sur un ton de conspiratrice.
    
    Elle s’était déplacée de façon à être face à moi, les fesses contre la machine à laver. Je tendis donc les mains dans la nuit et trouvai son bras. Je le longeai et, une fois atteints ses cheveux, je commençai par inspecter son visage que je connaissai déjà.
    
    — Ne soyez pas timide. Vous savez fort bien que nous avons maintenant atteint le point de non-retour, alors allez-y franchement. Comment trouvez-vous mes seins ? Un peu gros, non ? Oh, vous avez les mains douces et chaudes. Vous avez vu comme mes pointes sont tendues ? Ah oui, malmenez-les un peu…
    
    Sa poitrine était dodue et ferme, je tripotai ses tétons entre pouce et index. Sa ...
«1234...12»