1. 55.1 Les envies de Jérém (troisième du nom).


    Datte: 20/04/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... dévoilent, ses biceps se gonflent, se tatouages avec, ses pecs se bombent, les abdos se tendent. Nos regards se croisent. Il est beau à pleurer.
    
    Jérém revient s’allonger sur le lit, à côté de moi. Je cale ma tête sur ses abdos. Il pose sa main sur mon épaule. Nous restons ainsi, en silence, pendant de longs moments.
    
    « T’as kiffé hier dans la cave, alors… ? » j’ai envie de tester un peu plus notre complicité.
    
    « A ton avis ? » fait le bogoss, sur un ton nonchalant.
    
    Le bogoss est en train de se caresser la queue ; lorsque je me retourne, elle est à nouveau bien en forme.
    
    « T’as encore envie ? » je le cherche.
    
    « A ton avis ? » fait-il à nouveau, moqueur.
    
    « Je t’excite, alors… ».
    
    « Tu ferais bien de venir me sucer… » fait-il en titillant à nouveau mon téton.
    
    « Je t’excite ? ».
    
    « Tu me gonfles… ».
    
    « Ca, je sais… tu me le dis assez souvent… mais quoi d’autre ? ».
    
    « Tu me fais… ».
    
    « Allez, lâche le morceau… ».
    
    « … rien du tout… » assène le bogoss, en se marrant dans la moustache.
    
    « Si tu viens chaque après-midi, c’est que je dois bien de faire de l’effet… ».
    
    « C’est ça… » fait le bogoss, mais sur un ton tellement appuyé et dans lequel je ne saurais pas discerner l’affirmation de la raillerie.
    
    « Ah, tu vois, c’était pas si compliqué ! » je décide de le féliciter.
    
    « T’emballes pas et viens me sucer, j’ai pas toute la nuit… ».
    
    Un instant plus tard, j’approche mon nez et ma bouche de la queue de ce mec « à qui je fais de l’effet » ...
    ... : je ne peux pas résister à son injonction de le sucer encore. Mais d’abord, je ne peux résister à la tentation de me faufiler entre ses cuisses et de descendre le long de ses bourses, jusqu’à rencontrer sa jolie rondelle qua j’ai délaissé depuis un si long moment. J’ai envie de lui faire plaisir, vraiment plaisir.
    
    Titiller l’intimité ultime de mon bobrun c’est aller à la rencontre de mille bonheurs sensuels ; poser ma langue sur son petit trou et le sentir instantanément frissonner ; sentir sa main se poser lourdement, instamment sur ma tête, pour me forcer à y aller franco, m’encourager à bouffer son petit cul sans ménagement ; le sentir gémir, trembler, se tordre de plaisir ; le voir plier les genoux, planter les pieds sur le matelas, bien écarter ses cuisses, m’offrir son intimité sans plus aucune pudeur, pour que ma langue s’y insinue et le fasse vibrer de plaisir ; sentir sa main me retenir, alors que j’émerge un instant pour reprendre mon souffle, le sentir réclamer ce contact interdit et plaisant ; le sentir dangereusement excité, la main en train de branler sa queue gonflée à bloc, les veines bien apparentes, le gland bien rouge ; sentir qu’il est à deux doigts de jouir ; et ce, juste parce que je lui ai apporté ce plaisir que moi et moi seul lui ai fait découvrir.
    
    Lorsque j’arrive enfin à me dégager de la prise de ses mains qui voudrait me retenir encore pour que je m’occupe de ce petit plaisir exquis, je m’installe sur le flanc, positionné pour le sucer par ...
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