1. Intense pénétration


    Datte: 19/04/2020, Catégories: fh, fagée, Humour Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... apparaissaient, m’attirant comme un aimant. Je voyais bien dans son œil brillant que ces agaceries étaient volontaires et que ma réaction la satisfaisait pleinement.
    
    — Cette bibliothèque servait de bureau à mon défunt époux, me confia-t-elle sur le ton de la conversation, tandis qu’elle croisait et décroisait les jambes de plus en plus haut.
    
    Des petits bouts de sa peau satinée se dévoilaient ou se cachaient au gré de ses mouvements. Toujours plus haut. Si haut que quelques poils échappés d’on ne sait où… Maintenant, elle ouvrait carrément les jambes. Ce n’était plus « que quelques poils », mais des touffes entières. Elle allait me rendre chèvre… enfin plutôt bouc.
    
    — Je l’ai transformé en boudoir, car elle est la plus éclairée du château, continuait-elle imperturbable. Alors j’ai… Je perdis le fil de son discours occupé que j’étais à essayer à ne rater aucune miette de peau, à attendre l’apparition de sa vulve.
    
    Un claquement de doigt !
    
    — Armand, vous me semblez avoir quelque difficulté pour vous concentrer. Vous n’écoutez pas ce que je vous dis ! C’est de mauvais augure pour…
    
    Et merde ! Baronne, Comtesse ou Reine de Prusse, ça suffisait ! Elle m’allumait comme une malade et elle se plaignait que je ne l’écoute pas ! J’allais lui montrer que je savais aussi parler « noble » après elle me foutrait dehors si elle voulait. Ras le bol de ses manières d’aristo. Surtout que l’aristo, sur ce que j’avais vu, elle ne devait pas dormir sur une pile de pièces ...
    ... d’or.
    
    — Madame la Comtesse, je suis désolé de ne point vous écouter. Vos lèvres prononcent des mots et votre corps m’en dit d’autres, bien plus prenants – ça faisait du bien de se lâcher mais fallait que je garde mon sérieux jusqu’à la fin de ma tirade. Vous avez allumé un tel feu en moi, et vous l’entretenez si bien que je ne peux qu’écouter les mots de votre corps qui me brûlent à chaque seconde un peu plus. En clair et en langage prolétaire, M’dame la Comtesse, si vous n’arrêtez pas de m’allumer avec vos guiboles qui s’ouvrent et se ferment en foutant mon entresol en émoi, je ne pourrai pas vous écouter.
    — Mon ami, mon ami ! Comme vous y allez ! se récria-t-elle. Et quel langage ! C’est donc cela qu’on vous apprend dans les écoles de la République. Ne seriez-vous pas communiste par hasard ? Pire marxiste ! Me parler ainsi à mon âge ! A votre âge !
    
    Elle protestait, mais je voyais bien que mes propos l’excitaient. Plus calmement :
    
    — Encore une fois, eue égard à votre jeunesse et au désir irrépressible que je semble avoir fait naître en vous, je vous excuse. Mais c’est la dernière fois. Puisqu’il en est ainsi, afin de ne pas provoquer de nouvelles montées… d’adrénaline …
    
    Provocante, elle serra ses jambes l’une contre l’autre, descendit autant qu’elle put sa robe, jusqu’à ce qu’elle couvre ses genoux.
    
    — Suis-je assez respectable, convenable ainsi ? Allez-vous enfin détacher votre regard lubrique de mes jambes pour me prêter une oreille attentive.
    
    Marie-Angélique de ...
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