1. Intense pénétration


    Datte: 19/04/2020, Catégories: fh, fagée, Humour Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... qui me mettez dans cet état. Vous voir marcher devant moi fut un délicieux supplice. Mon cœur bat la chamade (et ma bite bat la mesure !! mais ça je ne lui ai pas dit).
    — Mais il avait raison l’abbé Tadeudeau. Vous vous exprimez très bien pour un petit paysan.
    
    Petit paysan ! M’dame la Comtesse, elle avait de la chance qu’à cette minute précise mon cerveau était dans mon slip, sinon je lui aurais rappelé ce qu’on en avait fait des aristos dans son genre ! Mais vu la trique que je me trimballais, le « petit paysan » avala la couleuvre avec le bocal …
    
    Mais l’autre, fine mouche, s’était bien aperçue que je tordais le nez. Elle lança sa main, m’attrapa Popaul, m’attira à elle, colla son corps contre le mien. Ses seins n’étaient pas conséquents pourtant, je sentis deux mamelons durcis se presser contre ma poitrine. Elle me roula une pelle façon Comtesse : brève, mais profonde. Ses lèvres s’écrasèrent contre les miennes ; une longue langue pointue força le passage, s’engagea entre mes dents, s’empara de ma langue qu’elle affola. Le temps que je réagisse, l’assaillant avait battu en retraite. Elle me repoussa gentiment, lâcha mon sexe.
    
    — Ne soyez pas vexé, Armand, mon jeune ami ! C’était un compliment !
    
    Compliment ou pas, j’en restai les jambes flageolantes, la bite meurtrie et un goût d’inachevé aux lèvres… d’accord ailleurs aussi. Elle continuait :
    
    — Un peu de sérieux ! Que diantre ! Avant que d’aller plus loin, nous devons savoir si votre plume sera aussi ...
    ... pénétrante sur le papier que vos doigts sous le cerisier.
    
    Nous traversâmes rapidement un vaste hall où rouillaient quelques vieilles armures décrépies dont les probables propriétaires tout aussi décrépis « s’éternalisaient » dans de mauvaises croûtes accrochées sur chaque mur.
    
    — Je déteste cette pièce. Elle est sinistre, me confia Marie-Angélique, mais c’est mon défunt époux qui l’a voulu ainsi…
    
    ********************
    
    Elle m’introduisit dans une pièce de taille plus humaine meublée d’une unique bibliothèque qui couvrait trois pans de murs. Le quatrième laissant passer le jour par deux fenêtres ouvragées dont l’état laissait à désirer. Au milieu de la pièce, deux fauteuils d’époque – ne me demandez pas laquelle - qui avaient l’air aussi inconfortables l’un que l’autre et une table basse encombrée de bouquins.
    
    — Prenez place, me dit la Comtesse en me désignant le plus mal en point des sièges, celui qui n’avait même pas d’accoudoirs.
    
    Elle s’installa dans l’autre, jambes haut croisées. Elle le faisait exprès, c’tte garce. Elle m’offrait, avec une impudeur calculée, la vision toujours aussi appétissante de sa culotte médiévale et déchirée. Culotte qui dissimulait à mes regards concupiscents le haut de ses cuisses dont je n’ignorais pourtant plus grand-chose.
    
    Mais cette non vue aiguisait mon appétit et gonflait ma queue encore plus sûrement que si elle avait été complètement à poil. Entre les points de dentelles qui ornaient la lisière, de petites parcelles de chair ...
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