1. L'obéissance jusqu'à l'humiliation


    Datte: 17/04/2020, Catégories: ff, jeunes, fépilée, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ecriv_f, Auteur: Jocelyne nat, Source: Revebebe

    ... sa main sur ses fesses, avant de la remonter sous sa jupe et de se retourner faire un clin d’œil complice aux garçons tout en lui faisant tourner le coin de la rue voisine dans l’inimaginable situation de la main droite de Sylvie agrippée à la peau nue de sa fesse gauche ! La main de Sylvie sentait d’ailleurs distinctement les marques qu’avait laissées le rotin sur les belles fesses de son amie.
    
    — Mais qu’…, n’eut pas le temps de demander Isabelle avant que Sylvie, maintenant à l’abri du regard des garçons, ne la plaque contre elle en lui collant un baiser sur la bouche pour la faire taire, avant de la prendre par la main et de l’entraîner en chemin :
    — Je ne pense pas avoir de comptes à te rendre, ma salope lui dit-elle d’une voix douce, mais ferme, sache seulement que j’ai eu une soudaine envie d’un mâle et que le plus grand des deux, Karsten, me convient pour le moment. Je me le réserve et je pense donc t’offrir à l’autre. Il s’appelle Franz. Tu aurais pu tomber plus mal !
    
    Sylvie avait appris, dans son bref entretien avec les deux Allemands qui baragouinaient un français assez compréhensible, qu’ils repartaient le lendemain pour leur pays. C’est dans ses conditions d’un contact nécessairement limité dans le temps que l’idée lui était venue d’offrir à Isabelle une nouvelle occasion de lui démontrer sa docilité
    
    — Mais, tu… essaya Isabelle.
    — Oh ! Tais-toi maintenant ! Il ne s’agit que de baise et j’entends l’organiser comme il me plaît – pour toutes les deux. ...
    ... D’accord ? Je sens qu’on va encore bien se marrer ! lui intima Sylvie pour éviter toute discussion.
    
    Et, elle reprit après une courte pause :
    
    — Je n’ai pas entendu : tu es bien d’accord ?
    
    Isabelle avait bien eu un fiancé avant de rencontrer Sylvie et Sylvie, n’ignorant rien de sa vie sexuelle passée, savait très bien qu’elle n’était pas hostile aux hommes ; mais de là à accepter que son amie intime lui donne l’ordre de se faire sauter par le premier venu, il y avait une marge qu’Isabelle n’était pas prête à franchir.
    
    — Ecoute, Sylvie, tu sais bien que je n’aime que toi et ça, franchement, je ne pourrai pas ! Je ne veux plus qu’un homme me touche, et encore moins me pénètre ; je ne veux que ta douceur sur ma peau. Soumets-moi à tout ce que tu veux, je ferai tout ce que tu désires pour toi et avec toi ; mais ne me livre pas comme çà, j’aurai trop mal !
    — Ah il est beau, ton soi-disant amour ! lui jeta Sylvie en feignant d’être hors d’elle. À la moindre épreuve, tu te défiles ! Bravo ! Qu’est-ce que je dois penser moi de ta promesse d’obéissance ? non, franchement, tu mériterais que je te laisse tomber !
    
    Affolée par le tour que prenait la discussion, Isabelle baissa la tête et murmura en rougissant :
    
    — Mais peut-être que je pourrai le contenter comme cela avec mes mains sans devoir aller plus loin ?
    — Assez discuté pour rien, sinon, je vais me fâcher. J’espère que ce soir tu seras plus docile à mes instructions et que tu ne me feras pas honte ! Allez, maintenant, ...
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