1. L'obéissance jusqu'à l'humiliation


    Datte: 17/04/2020, Catégories: ff, jeunes, fépilée, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ecriv_f, Auteur: Jocelyne nat, Source: Revebebe

    La dernière ligne ayant malencontreusement sauté du dernier épisode, je rappelle le dernier paragraphe :
    
    Isabelle restait hébétée et hagarde. Puis ses sentiments se transformèrent en une profonde reconnaissance et elle se mit à pleurer. Ses nerfs avaient lâché après la plus fantastique extase qu’elle n’ait jamais connu :
    
    — Sylvie, hoqueta-t-elle, je… Je ne sais pas, comment… ou pourquoi… mais je…
    
    Sylvie lui écarta l’une de ses longues boucles brunes de son visage, la regarda calmement dans les yeux et lui dit :
    
    — Mais, moi je sais quelque chose, Isa – et tu t’en rends compte chaque fois davantage toi-même…- tu es… non… tu m’appartiens, de la tête aux pieds…
    
    Isabelle la regarda un moment avec un air interrogateur avant de lui rendre son sourire, de hocher la tête et de dire doucement, mais d’une voix déterminée :
    
    — Oui, Sylvie, je t’appartiens !
    
    Le lendemain, ce fut Sylvie qui émergea la première d’un sommeil lourd dans la moite chaleur de leur chambre. Il était déjà plus de midi ! Comme sa tête reposait sur le sein droit d’Isabelle dont elle entourait la taille de son bras droit, la première chose qu’elle vit en ouvrant un œil fut le téton gauche de son amie. Elle se sourit lascivement : Isabelle était vraiment la fille qu’il lui fallait, à la fois belle à couper le souffle et excitante par le mélange subtil d’hésitation et de docilité avec lequel elle finissait toujours par lui obéir. Elle comprit que si elle ne lâchait pas la pression et continuait ...
    ... d’amener son amie toujours plus loin dans l’exigence d’une obéissance aveugle dans tous les fantasmes de sa sexualité débridée, elles atteindraient toutes les deux des sommets de jouissance. Mais il lui fallait faire le point pour mieux s’assurer de son emprise sur Isabelle. Elle porta son majeur droit à ses lèvres, l’humecta de salive et le plaça doucement sur l’entrejambe de son amie pour commencer un imperceptible effleurement circulaire. Isabelle sourit dans son demi-sommeil et écarta imperceptiblement les jambes pour se livrer à la douce caresse. Sans même reprendre clairement conscience, elle se laissait bercer par les douces vagues d’un bien-être pas encore transformé en plaisir. Sylvie avait toute l’expérience et la patience requises, mais quand elle sentit le petit bourgeon du clitoris d’Isabelle durcir sur son index, elle sut que son réveil était imminent. Elle approcha alors sa bouche de celle de son amie et lui offrit un long baiser langoureux en continuant d’exciter doucement la partie la plus sensible de son corps.
    
    — Bonjour, ma belle effrontée, murmura-t-elle, il est l’heure de repartir vers d’autres plaisirs !
    
    Isabelle serra les cuisses pour mieux garder cette main qui lui donnait tant de plaisir.
    
    — N’est-ce pas que tu n’es qu’une effrontée ? continua Sylvie.
    
    Isabelle approuva d’un geste de la tête sans même ouvrir les yeux, concentrée sur la caresse.
    
    — Il faut que je t’appelle différemment maintenant, continua Sylvie sur le même ton, je vais ...
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