1. L'obéissance jusqu'à l'humiliation


    Datte: 17/04/2020, Catégories: ff, jeunes, fépilée, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ecriv_f, Auteur: Jocelyne nat, Source: Revebebe

    ... - te rappellent constamment ta nudité et ton obéissance. Allons, ma salope ! Ne fais pas cette tête-là ! Je ne te demande rien de difficile et tu verras par toi-même combien cela va te plaire ! poursuivit Sylvie. Je n’ai que faire d’une soumise triste, je te veux gaie, épanouie et fière de ta condition de soumise ! Regarde-moi dans les yeux et dis-moi que tu es d’accord !
    
    Isabelle regarda les yeux souriants de Sylvie, crut y déceler beaucoup d’amour et y puisa le courage de dire distinctement dans un sourire et en haussant les épaules en signe d’assentiment fataliste :
    
    — Oui, Sylvie, je t’obéirai !
    
    Elles s’étaient installées pour manger sur une sorte de terrasse extérieure d’un petit établissement d’été qui vendait des sandwiches, des viennoiseries et des glaces. La terrasse était surélevée d’un petit mètre par rapport à la rue, si bien que les yeux des passants sur le trottoir étaient à la hauteur des sièges en rotin des deux filles. Isabelle avait jeté un regard circulaire avant de s’asseoir à la place indiquée par Sylvie, puis les joues brûlantes, elle avait rapidement soulevé sa robe pour asseoir directement ses fesses nues sur le rotin dont les picotements lui signalaient discrètement son état. Ce geste d’impudeur rapide était passé inaperçu, sauf du regard attentif et approbateur de Sylvie :
    
    — Très bien, ma salope ! Maintenant regarde bien les passants dans les yeux et surtout maintiens bien tes cuisses écartées en angle droit !
    
    Isabelle obéit, toute ...
    ... rouge de confusion. Bien que la table que Sylvie avait choisie ne soit pas directement au premier rang, elle était tout de même face à la rue et la position surélevée de la terrasse, ajoutée à la pose outrageusement impudique d’Isabelle dont la courte robe était remontée en s’asseyant jusqu’au niveau des hanches, assureraient au premier passant attentif une vision sans aucun obstacle sur son sexe ouvert… C’était évidemment pour cette exposition que Sylvie avait choisi cet établissement. Sylvie l’avait décidé. Isabelle obéissait donc, sans savoir réellement démêler ses propres sentiments entre la honte qu’elle éprouvait d’une telle exhibition publique et la fierté de pouvoir prouver son obéissance à sa maîtresse, qu’elle ressentait de plus en plus clairement. Et elle était en fin de compte heureuse de montrer à sa maîtresse qu’elle était bien à la hauteur de ce qu’elle attendait d’elle. Pendant la demi-heure qui suivit leur arrivée, Isabelle fût finalement surprise du fait que si peu de passants ne paraissaient remarquer l’extraordinaire impudeur du spectacle qui leur était offert. Il lui fallut attendre près d’un quart d’heure d’observation nerveuse au-dessus du milk-shake que Sylvie avait commandé pour elle, avant de déceler la première réaction d’un jeune qui passait sur le trottoir. Le jeune, visiblement un étudiant en vacances, avait jeté un regard dans sa direction, donné un coup de coude discret au garçon du même âge qui l’accompagnait, et nettement ralenti sa marche. Peu ...
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