L'obéissance jusqu'à l'humiliation
Datte: 17/04/2020,
Catégories:
ff,
jeunes,
fépilée,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ecriv_f,
Auteur: Jocelyne nat, Source: Revebebe
... après, les deux refirent une apparition dans l’autre sens. Les regards qui se voulaient indifférents des garçons sur son sexe, puis le coup d’œil qu’ils se lancèrent accélérèrent vertigineusement le pouls d’Isabelle. Elle respirait de façon saccadée et dut faire un effort de volonté pour maintenir ses cuisses ouvertes dans la position que Sylvie lui avait ordonnée.
— On dirait que tu as des admirateurs, ma salope lui murmura d’ailleurs son amie pour augmenter encore sa confusion.
Un moment après, ce fut le regard d’abord troublé puis discrètement appuyé d’un autochtone d’âge moyen qui détailla sa fente exposée de façon si outrageusement insistante. Isabelle s’efforça de lui sourire, le cœur battant la chamade, pour suivre les instructions de Sylvie. Le gars disparut complètement déstabilisé. Enfin, juste avant qu’elles ne partent, ce fut un couple de vacanciers d’une vingtaine d’années qui se dirigea vers les marches menant à la terrasse. Au pied de la première marche, la ravissante touriste blonde jeta un regard à la terrasse et la soudaine rougeur de ses joues prouva à Isabelle qu’elle avait également pris conscience de son incroyable impudeur forcée. La blonde s’abstint de faire part de sa découverte à son compagnon et l’entraîna vers une table loin dans le dos des deux amies. Sylvie demanda à Isabelle d’aller au comptoir du magasin pour payer leur addition. En chemin, celle-ci recroisa le regard effaré de la blonde et ne réussit à lui renvoyer qu’un demi-sourire ...
... avant de baisser les yeux de honte. Quand elle fut de retour après avoir fait quelque peu la queue pour payer, Sylvie avait disparu de leur table. Elle la chercha des yeux et la trouva en train de discuter amicalement avec deux garçons de leur âge en bas des marches de la terrasse. Au moment où Sylvie l’aperçut, elle désigna Isabelle du doigt aux deux garçons. Isabelle ne sut si elle avait bien compris au travers des bruits de la rue, mais il lui sembla entendre quelque chose comme :
— Ah ! La voilà enfin ! Elle vous plaît, ma salope préférée ?!
Les deux garçons avaient pris un air gêné, mais furent intéressés par l’apparition des somptueuses cuisses d’Isabelle descendant les marches, si largement découvertes par sa courte robe d’été, et encore plus excitantes à cause de ses pieds nus. S’ils avaient pu imaginer… Sylvie, ravie de leur trouble naissant non moins que de la confusion d’Isabelle, conclut par un autoritaire :
— Bon, à ce soir donc ! Passez nous prendre vers 20h30 à l’hôtel d’en face, chambre 344, salut !
Et elle entraîna Isabelle, qui se demandait ce que signifiait l’irruption de ces deux beaux gosses - visiblement des étrangers - au milieu de leur intimité, en lui passant le bras droit autour de la taille et en partant vivement le long du trottoir. Isabelle savait que ce départ si rapide leur vaudrait un regard appuyé des garçons dans leur dos. C’est pourquoi elle fut totalement effarée lorsque, après avoir marché ainsi à peine dix mètres, Sylvie baissa ...