Une passion, une faiblesse
Datte: 16/04/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
cocus,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... suis. D’accord ?
— D’accord !
— Comment vous trouvez Séverine ? Je veux dire, est ce qu’elle vous plaît ? Au point d’avoir envie de coucher avec elle ?
Quelle question ! Évidemment que sa femme, je me la ferais bien. Moi, je sais déjà comment elle suce, et j’ai bien vu comment elle se comportait avec son amant.
— Elle est très désirable.
— Et cela vous dirait, une soirée avec elle ?
— Évidemment, mais vous…
— Ne vous en faites pas. Écoutez. Vous avez compris qu’entre elle et moi il y a un problème. Oui ?
— Oui.
— Le problème, c’est moi ; mais j’ai peut-être une solution. Voilà ce que je vous propose…
Et il m’explique. Au bout du deuxième demi, nous sommes tombés d’accord. Moi, de toute façon, je n’y vois que des avantages. Pour le reste, cela le regarde.
Vingt heures. Vendredi soir. Je sonne à la porte du couple. Je me suis mis sur mon 31, chemise et pantalon repassés. Je sonne.
— Oui ? dit une voix derrière la porte.
— C’est Régis.
Il faut quelques secondes pour qu’elle me remette. Je vois l’œilleton s’assombrir. Elle doit regarder.
— Régis ! Mais…
La porte s’ouvre. Elle me découvre, un bouquet de fleurs dans une main, l’autre encombrée de paquets.
— Je suis venu m’excuser pour l’autre jour. J’aurais dû rester pour m’assurer que votre mari restait calme.
— Oh, c’est gentil. Rassure-toi, tout s’est bien passé. Mais qu’est ce que tu as là ?
— Des fleurs pour vous, et aussi de quoi dîner. Je me suis dit que nous pourrions passer un moment ...
... ensemble.
— Oh, des fleurs… Merci. Entre. Des roses blanches ! Mes fleurs préférées.
J’entre. Elle réalise que je suis presque élégant. La dernière fois j’étais en short.
— C’est pour moi que tu t’es fait beau ? Merci.
Elle me fait une bise chaste.
— Mais moi je ne suis pas… Écoute, va dans le salon. Je te laisse déballer tout ce que tu as apporté. Cela tombe bien, je n’ai pas encore dîné. Moi, je vais aller me changer pour te faire honneur.
Elle va partir. Je demande :
— Si j’osais…
— Oui, mon petit Régis ?
— Vous ne pourriez pas mettre un porte-jarretelles ? J’ai toujours rêvé de voir…
— En cette saison ? Après tout, si cela peut te faire plaisir.
Elle me laisse. Je m’installe au salon, déballe mes paquets sur la table basse, débouche la bouteille de champagne, et comme j’ai même apporté de quoi écouter de la musique, lance ce qui ne peut que compléter cette ambiance que j’espère torride.
Séverine revient. Je la découvre : ce n’est plus la même femme. Un coup de peigne, un peu de blush, du rose sur les lèvres, et surtout cette robe noire qui la moule délicieusement. Des bas. Oui, des bas. En demandant un porte-jarretelles, je n’avais pas vraiment réalisé ce que cela impliquait : des jambes galbées de soie noire.
Elle est heureuse de son petit effet. Les minutes qui suivent nous voient minauder comme deux ados. La bouteille est vite éclusée. Les petits fours à peine entamés. Chacun sait comment cela va finir, mais j’ai comme mission de prendre ...