Une passion, une faiblesse
Datte: 16/04/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
cocus,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... voilà à poil devant elle. Sans parler, elle se baisse. Dès que sa main touche ma verge, je tressaille et mon sexe réagit. C’est dingue, mais je vais me faire branler par une femme afin que je taise son infidélité dont je me fous royalement.
— Tu as une belle queue.
Bien sûr, chaque caresse la fait grandir et gonfler.
— Oui, vraiment, dit-elle juste avant de poser ses lèvres sur mon gland.
La salope me suce. Je suis dans une cuisine, une femme me pompe alors que son mari dort à quelques mètres. Si au début j’ai des scrupules de l’avoir laissée faire, bien vite ils s’envolent. Ils s’envolent lorsque je vois – et surtout je sens – la façon dont la cochonne agenouillée devant moi me suce, me lèche, m’aspire, me gobe les couilles et le reste. Ce n’est pas une punition qu’elle s’inflige. Oh non ! La salope aime cela. Elle aime tirer des filets de salive qui lui coulent sur le menton. Elle aime faire ramper ses lèvres sur ma queue qui semble ne plus vouloir s’arrêter de grandir. Je sens combien elle est frustrée de ne pas pouvoir me gober entièrement, je suis trop long. Elle aime pourtant faire jouer mon gland contre ses joues.
De toute façon, tout son vice est dans son regard. Ses yeux brillent et transpirent le stupre. C’est ma première quadra. Mes copines sont plus jeunes et, si elles aiment bien baiser, aucune ne sait sucer si bien, et surtout avec autant de gourmandise. Ma queue n’est pas imbibée de miel mais elle me lèche.
Ce qu’elle n’arrive pas à gober, ...
... elle le branle ; et alors qu’elle se retire pour reprendre son souffle, je crache ma purée sans avertissement. Le premier jet lui éclabousse le visage, mais la salope a le reflexe de guider les suivants entre ses lèvres. Et c’est au chaud que je déverse ma semence.
Cela ne la dégoûte pas de me boire, et même j’ai l’impression qu’elle apprécie.
Quelle pute ! Quelle salope ! Faire cela à quelque pas de son mari afin qu’il ne sache pas qu’elle a un amant.
— T’es vraiment une salope ! Arnaud ne te suffit pas, il te faut des jeunes aussi ?
La femme est autant surprise que moi. Son mari est juste à la porte de la cuisine et vient de parler. Oh là là, quelle merde !
— Pascal… Tu ne dors pas… tu…
C’est tout ce qu’elle arrive à dire alors qu’elle découvre son mari et se relève.
— Ce n’est pas ce que tu crois…
Là, je trouve qu’elle s’enfonce. Il n’est pas aveugle. De mon côté, je remets mon slip et mon short. J’hésite. Je voudrais me sauver mais l’homme bloque la sortie. Et devant sa carrure, je ne chercherai pas la bagarre. Il est en caleçon avec rien d’autre, et taillé comme une armoire à glace. Il n’a pas un cheveu sur le caillou, et d’ailleurs pas un poil sur le corps. Je ne peux m’empêcher de le comparer à l’amant que j’ai vu, Arnaud si j’ai bien entendu.
Mais la femme réalise.
— Arnaud ? Pourquoi tu parles d’Arnaud ?
— Cocu ne veut pas dire débile. Ne nie pas. Je sais que c’est ton amant.
— Mais comment ?
— Il y a toujours des âmes charitables pour ...